Vie d'autrefois




L'aide aux victimes des incendies du Saguenay se poursuit. On apprend que les paroisses de Saint-Eusèbe de Stanfold et Princeville ont donné 46$, 1 caisse et 2 quarts d'effets et d'objets et une charrette neuve sortie de l'usine de MM. Brissette.
No d'identification : 9 268
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 4, no 29 (23 juin 1870) : 2.


1870-06-23 p2, aide au Saguenay_1.jpg
1870-06-23 p2, aide au Saguenay_2.jpg
Journal
Texte qui se nomme «En voyage», l'auteur prenant le train à Arthabaska Station pour Québec. il se rappelle l'incendie qui a ravagé les moulins du concitoyen Raphaël Richard. Vendu, l'emplacement est en voie d'être reconstruit. Le collège de Stanfold est fermé depuis quelque temps, faute d'appuis. On y donnait le cour commercial. L'auteur déplore cette fermeture et suggère que les frères de la doctrine chrétienne pourraient seuls faire revivre cette institution. On parle du magasin de la famille Richard: Ls Richard l'a cédé à Ludger, son fils, lorsqu'il s'est retiré. Le seul médecin du village, le Dr Gravel, est parti pour les États-Unis mais on pense pouvoir le remplacer prochainement. - Il y a peu de manufactures à Stanfold. Théophile Girouard y exploite le bois, ses moulins sont près du village, sur le chemin de Saint-Norbert. Il a des contrats de bois scié et donne de l'ouvrage à l'année à un certain nombre d'employés. Il a un «superbe cottage» près de ses moulins. Sur le trajet entre Stanfold et Somerset, des maisonnettes blanches longent la voie du Grand Tronc et le pays est montagneux. No d'identification : 14 136
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 6, no 3 (21 décembre 1871) : 2 (suite: 6, 4, p. 2).


1871, 12-21 p2-p3, voyage en train.jpg
Journal

No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (20 juil. 1893) : 2-3.


1893-07-20 p2-p3, plaisir.jpg
Journal

No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (11 janv. 1894) : 2-3.


1894-01-11 p2-p3, Union.jpg
Journal

Le village est infesté de tramps.
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (10 oct. 1895) : 2-3.


1895-10-10 p2-p3, série de vol.jpg
Journal

No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (8 juin 1895) : .


1895- 08 juin, dictionnaire des amoureux.jpg
Journal

No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (8 juin 1895) : .


1895- 08 juin, p4, Louis Cyr.jpg
Journal

Population de la planète est de 1.5 milliard en 1895
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (8 juin 1895) : 4.


1895- 08 juin, p4, population.jpg
Journal

Frédéric prends soin du sauvage.
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (17 dec. 1896) : 2-3.


1896-12-17 p2-p3, sauvage, indien_1.jpg
1896-12-17 p2-p3, sauvage, indien_2.jpg
Journal

M. Célestin Fournier de Princeville vient d'inventer une mesure très utile pour les marchands qui vendent des liquides: vase en cuivre (description du fonctionnement). Patente émanée du gouvernement fédéral le 16 juin.
No d'identification : 25 371

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 32, no 38 (02 septembre 1898) : 3.


1898-09-02 p2-p3, invention par Célestin Fournier.JPG
Journal
Municipalité de Stanfold manifeste son appui (mitigé?) au journal le Mégantic de Plessisville. Énumération des autres journaux de la région: Arthabaskaville a l'Union des Cantons de l'Est; Victoriaville a l'Écho des Bois-Francs; Lyster/Sainte-Anastasie a The Megantic Gazette. - On déplore l'absence de journal à Stanfold. - Réaction à la ligne éditoriale : « Vous vous dites franchement libéral? C'est mieux que d'être mi chair mi poisson. » No d'identification : 24

Le Mégantic, vol. 1, no 2 (23 décembre 1899) : 3.


Journal

No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (2 juin 1899) : 2-3.


1899-06-02 p2-p3, combat scandaleux.jpg
Journal

Invasions de Féniens à Stanfold au nombre de 60 environ. Fénien (anglais : fenian) désigne généralement et depuis la fin du 19e siècle les nationalistes irlandais qui choisissent la violence pour lutter contre la présence britannique. Ce terme fait également référence aux membres de l'Irish Republican Brotherhood (IRB).
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (2 juin 1899) : 2-3.


1899-06-02 p2-p3, panique.jpg
Journal

Épidémie de chaines de lettres.
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (28 nov6 juin 1935) : 6.


1935-06-06, p6, chaines de lettres.jpg
Journal
Le personnage de gauche est Edmond Lachance.

qui54_.jpg
Disque patrimoine
qui101.jpg Disque patrimoine
Top modèles de 1902 à Princeville. Taille de guêpe, regard décidé, tenue des plus élégantes et chapeau à faire tourner les têtes; qui a dit que les femmes au début du siècle n'avaient pas de panache? De g. à d. Emma St-Pierre, Aurore Nadeau, Ida St-Pierre et Emma Nadeau (épouse de Aurèle Perreault). Les soeurs St-Pierre étaient des cousines des soeurs Nadeau.

Jusqu'en 1918, la mode est aux vêtements traditionnels, nobles et élégants. Les jupes descendent jusqu'au sol, car il ne faut surtout pas voir les chevilles, puis elles racourcissent et s'allègent permettant à la femme plus de liberté de mouvement. Durant les années folles de l'entre-deux-guerres, les jupes sont courtes et les femmes se donnent une allure masculine. Le Krach ramène la sobriété et rallonge les jupes. Après la crise, la mode devient accessible à la classe moyenne. On peut se commander des vêtements par catalogue ou s'en inspirer pour s'en coudre. Le port de pantalon, vers 1950, ne fait pas l'unanimité, mais s'impose de plus en plus. (réf. 13-MON-029, p.143)


Cousues Mode 1902, g à d Emna St-Pierre, Aurore Nadeau, Ida St-Pierre, Emma Nadeau, 19-14.JPG
Expo 1998 - Film 19
Carton Noir B3 -43
Livre 13-MON-029
Photo retenu pour les costumes. On peut reconnaitre Cécile Lachance et Marielle Lachance.

Vie Autrefois, costume, QUI5, QUI330, DON-RP-043.jpg
Disque patrimoine
Qui est cette personne ? (q?)

Costumes en 1903, CL-NID-068.JPG
Classeur - NID
Qui sont ces personnes ? (q?)

Costumes, CL-NID-067.JPG
Classeur - NID
Photo retenu pour les costumes. On peut reconnaitre Cécile Lachance.

Vie autrefois, costume, QUI_12, QUI330, DON-RP-044.jpg
Disque patrimoine
Costume d'autrefois, DON-AH-029.JPG Disque patrimoine
Costume, DON-AH-030.jpg Disque patrimoine
Photo provenant du fond Georges Auger. Retenu pour les costumes.

16-FRP-054, CA-00065.JPG
Livre 16-FRP-054
Photo provenant du fond Georges Auger. Retenu pour les costumes.

Costume canadien de guerre, 16-FRP-045, CA-00027.JPG
Livre 16-FRP-045
Laval Légaré et Émile Simard à l'entraînement à Valcartier, Livre 150 iem p.321.jpg Livre 150e
Est-ce que quelqu'un aurait des coupons d'assistance publique dans les années 1930.



Textes supplémentaires, Livre 150e, page 50 et 51
.
Adélard Michaud. On se doit de souligner son apport à cette exposition. Célibataire et amateur de photographie, il a parcouru les rangs, couru les événements qu'il a fixés sur pellicule. Nous lui devons une bonne qualité des photos exposées. Cordonnier mal chaussé, c'est la seule photo qu'on a de lui, il est le 2e à droite, et quelle tenue.

Richard Adélard, photographe 2e de droite, 25-06.jpg
Expo 1998 - Film 25
Album brun 98 - PER
qui135.jpg Disque patrimoine
Jeune Homme. Vous pensez avoir reconnu ce jeune homme juché sur la clôture. Et bien c'est Antonio Lacroix (le chef) devant un magasin de la rue St-Jean-Baptiste sud, qui plus tard a été acheté par le docteur Nadeau pour en faire sa maison.

Assis sur clôture rue St-J.B.S. auj. # 181, 25-17.jpg
Expo 1998 - Film 25
Livre 05-FGN-045
Album brun 98 - VCM
Livre 05-FGN-045
Jeune Homme sur Clôture. Ce jeune homme est assis sur la clôture de fonte qui se trouvait en face de la maison de Roméo Nadeau, rue St-Jean-Baptiste sud. Mais qui peut-il être?

Assis sur clôture rue St-J.B.S. auj. # 181, 25-18.jpg
Expo 1998 - Film 25
Livre 05-FGN-045
Album brun 98 - VCM
Livre 05-FGN-045
Carnet de Rationnement guerre

Guerre 1939-1945 (39-45) avec ces fameux coupons de rationnement de la page 197 à 209. Deuxième guerre mondiale.

Livre Jusqu'à la Rochelière, par Richard Lassonde.


IMG_3842.JPG
Rayon 26
Carnet de rationnement intérieur

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Rayon 26
Monsieur Peanut

Chaque nouvel été nous ramenait monsieur Peanut sur son char allégorique. On entendait la musique venir de loin.

-Maman, maman, monsieur Peanut s'en vient! Deux monsieurs Peanut, personnages déguisés en peanut en écaille, portant chapeau haut-de-forme, guêtres et gants blancs, monocle et canne, dos à dos pour être vus en même temps des deux côtés de la rue, les mascottes de Planters, perchées sur un char allégorique tout décoré de peanuts en écaille, dansaient élégamment sur une musique de crooner. Il nous lancaient des petits sacs de peanuts. Nous courrions les ramasser sur le torttoir. (P.213 livre 42-FFT-002)
Livre 42-FFT-002
La petite histoire de vos ancêtres, Edmond et Alma, en vous racontant les souvenirs qui vous les feront connaître et aimer'. Votre grand-père était entrepreneur et < entreprenant >, vous le verrez par mon récit. Dans mes premiers souvenirs, je me rappelle des tuyaux de ciment de toutes dimensions qui se fabriquaient dans un bâtiment au fond de la cour, et de tous les instruments et outils utilisés, tels que malaxeur, moules, etc. Cet équipement-là servait aussi pour faire les trottoirs dans la ville. Dans le temps, chacun payait son trottoir !Il n'était pas rare de voir un bout de trottoir en bois suivi d'un en ciment; c'était selon les moyens ou de la fierté du résident. Il y a eu aussi la coupe de glace sur la rivière. Je me souviens d'une grande glacière remplie de blocs de glace conservés dans le bran de scie pour l'usage domestique et pour la vente à ceux qui possédaient une glacière dans leur cuisine pour conserver les aliments. Les sans-glacières conservaient leur nourriture dans une chaudière accrochée dans le puits (ou se débrouillaient).

L'hiver, c'était la coupe du bois sur les terres que votre grand-père possédait. La terre du 7e rang, surnommée le < Don de Dieu >, a fourni pendant plusieurs années ce qu'il fallait de bois. C'était une terre, je crois, octroyée par le gouvernement et qui ne lui avait pas coûté cher d'où son nom. Ce n'était pas des gros chantiers. C'était plutôt un chantier familial. On y coupait des billots, de la pitoune, du bois de chauffage, etc. dont la vente faisait vivre la famille.

Dans ce temps-là, les routes dans le bois n'étaient praticables qu'avec des voitures tirées par des chevaux. Notre père achetait un team de chevaux à l'automne pour le transport du bois au moulin à scie, et les revendait au printemps. Ce qui nécessitait deux petites écuries, une au bois et une au village. Bien entendu, sur les terrains de coupe de bois, il y avait un camp pour s'abriter. On partait pour la semaine avec toutes les victuailles qu'il fallait, même que les dernières années, maman partait avec eux (les membres de la famille et les aides) pour faire la cookerie. Une corvée pour eux, un agrément pour elle! Ils ne revenaient qu'en fin de semaine pour refaire le plein et repartaient le lundi. Le bois coupé était préparé en madriers, en planches et empilé dans la cour et servait lors des constructions. Notre père a bâti des maisons, des granges, des ponts, des barrages, etc. Plusieurs de ses réalisations subsistent encore de nos jours et témoignent de son esprit d'entreprise et de participation à l'évolution de la place. Il a été impliqué dans l'installation du téléphone, il faisait partie des premiers actionnaires. Il a sûrement été dans les premiers à posséder une automobile. Je me souviens d'autos avec toit en toile, l'ancêtre des décapotables, auxquels on attachait des côtés avec fenêtres en mica quand il pleuvait. Pour son temps, il était moderne, car je ne me souviens pas de ne pas avoir eu dans la maison l'électricité, le téléphone, les toilettes à , la laveuse électrique, etc. Ce n'était pas le lot de tous à cette époque. Avons-nous été privilégiés ? Sur certains rapports, je dirais oui ! Durant sa vie active, il a toujours eu une auto, des camions qui lui étaient nécessaires pour ses activités. Votre grand-mère : Nous étions neuf enfants. Comme toutes les mères, elle faisait le ménage, le lavage, la couture, et préparait les repas et par-dessus tout cela, elle écrivait les lettres, s'occupait de la business de son mari.

Elle calculait la paye des employés, signait les chèques, voyait aux choses bancaires (ce qui lui causait des problèmes quelquefois). Je me souviens aussi qu'elle nous faisait prier pour que le chèque du gouvernement arrive pour pouvoir joindre les deux bouts. (Notre père avait des contrats de ponts, de routes, etc., et la paye n'arrivait pas toutes les semaines, comme aujourd'hui.) Avec toutes ces occupations, ils n'ont pas réussi à s'enrichir, mais ils ont réussi à rendre la vie de leur maisonnée plutôt agréable, remplie de fantaisie et d'agrément. Je crois que vos oncles et tantes seraient du même avis que moi. (P.342-343-344-345 livre 42-FFT-002)
Livre 42-FFT-002


Divers

Une petite randonnée avec tous les risques que cela comporte. Maurice et Roland Blanchette ont quand même osé avec des cousins Harvey des États-Unis.

Blanchette Maurice & Rolland avec neveux sur boeufs, 19-16.JPG
Expo 1998 - Film 19
Album brun 98 - AGR
Livre 13-MON-029
Trois hommes dans le bois, 27-18.jpg Expo 1998 - Film 27
GROUPE À LA CAMPAGNE. Façon originale de se faire photographier pour un groupe d'amis et de parents des Perreault du 12e rang.

g. a d.: Yvette Perreault,
Thérèse Perreault,
Onil Perreault,
Antoniche Perreault,
Roger Perreault et
Doris Perreault,
Gaston Poisson et
Florence Perreault,
Simonne Perreault,
Armand Cormier.
(juillet 1937)


10 têtes et clôture, 20-22.jpg
Expo 1998 - Film 20
Album brun 98 - AGR
Vie autrefois, appareil photo, QUI330, DON-RP-042.jpg Disque patrimoine
Vielle photo001.jpg Disque patrimoine
Vielle photo002.jpg Disque patrimoine
Premier radio a Princeville, Livre 150 iem p. 279.jpg Livre 150e
À remarquer les différents objets, la visioneuse, DON-DB-212.jpg Disque patrimoine
Belle voiture devant Eglise de Princeville.jpg Disque patrimoine
Corbillard, voiture à un ou plusieurs chevaux qui servait à transporter les cercueils de la maison familiale lors des funérailles.

Désilets Théode, corbillard de, 1875-1880 de Victo 375 $ 10-08-1999, 42-07.jpg
Expo 1998 - Film 42
Album brun 98 - PAR
Catafalque, ornement décoratif dans lequel on plaçait le cercueil pour la durée du service funèbre. C'est la cie Désilets de Victoriaville qui les fabriquait.

Désilets Théode, catafalque 1875-1880 350 $ 10-08-1999, 42-08.jpg
Expo 1998 - Film 42
Album brun 98 - PAR
Funérailles en 1940. Funérailles de Désanges Gagnon Morin, le 8 mars 1940. Elle avait été exposée dans la maison de F.X. Poisson (notaire Boudreau). Le cocher est M. Aurèle Houle et les chevaux lui appartenaient. Le corbillard était la propriété de la fabrique et était équipé de traîneaux pour l'hiver et de roues pour l'été. Il était remisé dans le hangar de la fabrique à l'arrière de l'église. En 1888, on le louait 25 centimes par funérailles.

Corbillard Aurèle Houle 8 mars 1940 fun. Désanges Gagné, 11-09.jpg
Expo 1998 - Film 11
Livre 150e P.219
Carton Noir B3 -29
Album brun 98 - PAR
Coulombe Jeannette, funérailles 1935, 40-17.jpg Expo 1998 - Film 40
Funérailles qui ont eu lieu à Victoriaville. À remarquer le corbillard, comme sur une certaine photo de funérailles qui ont eu lieu à Princeville.

Funéraille (1).JPG
Disque patrimoine
Funéraille, 23-3-2011.JPG Disque patrimoine
Funéraille.jpg Disque patrimoine
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (16 juil. 1891) : 2-3.


1891, 07-16 p2-p3, tempérance.jpg
Journal
Croix de temperance , Livre 150 iem p.291.jpg Livre 150e
Groupe devant l'hôtel de ville. Impossible de savoir la cause et la date de cette réunion, mais on sait que la 3e personne de gauche est Mme F-X. Poisson et celle à l'extrême droite, Mme F.X. Lacroix.

Groupe de femmes devant l’Hôtel de ville Mme F.-X. Lacroix, 18-13.JPG
Expo 1998 - Film 18
Album brun 98 - VCM

Partie de plaisir chez M. Blanchette
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (16 juil. 1891) : 2-3.


1891, 07-16 p2-p3, Morel et Bordeleau.jpg
Journal
Le mardi gras a été fêté à Stanfold chez M.M. Garneau, Morel et John Roux. «Belle coutume d'enterrer le mardi gras. N'oublions pas cela». No d'identification : 14 177

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 27, no 7 (16 février 1893) : 2.


Journal
Mardi gras, le 4 mars 1930. Le "mardi gras" avaient de la classe dans l'temps.

1ère rangée : Émilienne Goudreau (Mme Auguste Pellerin), Mme Joseph Martel, Alphonsine Thiboutot (Mme Arthur Boucher),

2e rangée : Mme Alphonsine Brisson, Clarisse Léveillée (Mme Émile Bélanger), Mme Arthur Thiboutot (mère d'Alphonsine), Donalda Thiboutot (Mme Lacasse), Bernadette Marchand (Mme Lionel Baril), Mme Louis Marchand (mère de Bernadette) et Mme Léopold Thiboutot.


Groupe de femmes devant la « Boîte à beurre » 1921, 18-12.JPG
Expo 1998 - Film 18
Carton Noir B1 -40
Livre 13-MON-029
Mardi gras, 4 mars 1930. Joliment déguisées, les femmes allaient se promener dans le village. La photo a été prise sur l'actuel stationnement de la Banque Nationale.

Le Mardi gras est une fête européenne qui remonte à 1500 ans. On commence la célébration au début de février et elles se terminent la veille du Mercredi des Cendres, qui marque le début du carême. Les enfants se déguisent et font la tournée des maisons pour quêter des friandises afin de se gaver avant cette période de privation et de pénitence. Les adultes s'épivardent également. Ils en profitent pour se déguiser et faire la tournée des voisins, jouer des tours, raconter des blagues, faire bombance et organiser des bals avant le jeûne de 40 jours qui précède la fête de Pâques. Cette coutume printannière est abandonnée pour faire place à la célébration automnale de l'Halloween. Cette fête folklorique anglo-saxonne est implantée en Amérique du Nord au 19e siècle par les Irlandais et les écossais. Sa popularité se généralise dans les milieux francophones vers 1950. (réf. 13-MON-029, p.155)


Groupe de femmes près de l’église 04-04-1930 Mme Arthur Boucher, Alphonsine, 17-24A.jpg
Expo 1998 - Film 17
Album brun 98 - VCM
Mardi-gras. À la position de la voie ferrée, cette photo a certainement été prise à l'arrière de l'Hôtel Marchand.

Mardi-gras, arrière Hôtel Marchand 1932, 22-25.jpg
Expo 1998 - Film 22
Album brun 98 - VCM
Mardi-gras au village. Laurette et Madeleine Brassard devant la maison familiale. Remarquez à l'arrière, la maison du Dr. Nadeau habitée aujourd'hui par Valmont Légaré.

Mardi-gras, devant maison Brassard, arrière de Valmont Légaré , 23-20.jpg
Expo 1998 - Film 23
Album brun 98 - VCM
Brin de folie. Photo prise devant le magasin G.P. Nadeau, le 8 juin 1917. Qui donc s'est permis ce clin d'oeil d'excentricité (Cécile Lachance avec la pipe).

Trois personnes devant G.P.Nadeau, 22-01.jpg
Trois personnes dev. Magasin G.-P. Nadeau 08-06-1917), 21-19.jpg
Expo 1998 - Film 21
Album brun 98 - VCM
Photo prise de la "track" en regardant vers St-Norbert. À gauche, le magasin "Clover Farm", le 5-10-15, et la cordonnerie Légaré.

QUI54.jpg
Disque patrimoine
Groupe de femmes devant le balcon du couvent. Debout au centre (la plus grande) Marielle Pellerin, mère de Richard Pellerin (la pipe).

MARIELLE_3.jpg
Disque patrimoine
Halloween, 1995-1996, LB20-P22.JPG LB G.-P N.
Plage de l'orme

Plage de l Orme en 1932, L150, p.121.JPG
Livre 150 iem
Dans quel secteur de la rivière cela peut-il être? (q?)

Plage, QUI235, DON-RP-026.jpg
Disque patrimoine
Dans quel secteur de la rivière cela peut-il être? (q?)

Plage, QUI295, DON-RP-027.jpg
Disque patrimoine
Où est-ce? (q?)

Est-ce la plage de l'Orme, LB27-P26.JPG
LB G.-P N.
Est-ce la plage de l'orme?

Plage, Richard_Bateau, DON-RP-028.jpg
Disque patrimoine
1ere rangée : Mme Fabiola Beaudet, Mme Émile Bélanger, Mme Edmond Thiboutot, Mme Henri Bélanger, Mme Arsène Baril.

2e rangée : Mme Georges Carignan, Mme Pitt Thiboutot, Mme Louis Marchand, Mme Armand Turgeon (Berthe Thiboutot), Mme Léon Pellerin (Émilienne Bélanger), Mme Lionel Baril (Bernadette Marchand).


Groupe, CL-EVD-113.jpg
Classeur - EVD
Photo en 1926

Vie autrefois, quel était ce jeu (2),16-FRP-053.JPG
Livre 16-FRP-053
Photo en 1926

Vie autrefois, quel était ce jeu,16-FRP-053.JPG
Livre 16-FRP-053
Photo en 1926

Vie autrefois, quel était ce jeu, QUI315, QUI330, 16-FRP-053.jpg
Livre 16-FRP-053
Mère, amie de Mme Brassard .

Juanita Carolina de Belgrano 8 mois Paris, 06-03-1911, 24-06.jpg
Expo 1998 - Film 24


Laurent et Gertrude Lacoursiere.jpg
Disque patrimoine
Vie d'autrefois, Livre 100 iem, p63.JPG Livre 100e
Mme Henri Sévigny, Née Philomène Lamy, elle fut mère d'Antonio Sévigny.

Sévigny Antonio Mme au rouet, 12-08.jpg
Expo 1998 - Film 12
Album brun 98 - AGR
Voiture qui semble être garée sur la rue St-Georges, on voit l'église derrière.

QUI258.jpg
Disque patrimoine
PROMENADE EN CARRIOLE. Les Rivard allaient faire un p'tit tour. Dans la voiture: Fernand, Yolande, Noëlla, Benoit et Lorraine.

Rivard  g. à d. Fernand, Yolande, Noëlla, Benoit, Lorraine, carriole1935, 15-06.jpg
Expo 1998 - Film 15
Album brun 98 - AGR
Couler le lait vers 1930. On voit ici Germaine Simard en train de faire l'opération à l'arrière du numéro 390, St-Jean-Baptiste sud actuellement.

Simard Germaine coulant le lait vers 1930, 390, St-J.-B.S., 13-09.jpg
Expo 1998 - Film 13 et
Livre 150e P.179
Album brun 98 - AGR
La "Route à Blais" l'hiver durant les années '40. Ceux qui aiment encore à raconter que les hivers dans l'temps…, ont presque preuve que les routes n'étaient pas aussi belles qu'aujourd'hui. Même que, quelques fois, deux autos de large c'était trop!

Tempête, après une, « route à Blais » 19.., 22-13.jpg
Expo 1998 - Film 22
Carton Noir B3 -28
Le charretier est N.R. Rheault.

Team de chevaux, Fév. 1921, don de Pierre Houle, CL-AGR-044.JPG
Classeur - AGR
LB G.-P N., #31-P172
Team de chevaux, Fév. 1921, don de Pierre Houle, CL-AGR-045.JPG Classeur - AGR
Chevaux de G.P. Nadeau (sénior).

Team de chevaux, Fév. 1921, don de Pierre Houle, CL-AGR-046.JPG
Classeur - AGR
LB G.-P N., #31-P176

Gaston Hébert
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (22 dec. 1960) : 32-33.


1960-12-22, p32-p33 (2), chasseur de chevreuil, Gaston Hébert.jpg
Journal
On voit Duval & Raymond à droite, la voiture est stationnée en face du cordonnier McCarthy.

Les Chasseurs, Benoit Rivard et Renald Poulin, CL-LOI-018.JPG
Classeur - LOI
Camp de chasse 2-074.jpg Carrousel 2
Classeur - IDI

Un maskinongé de 22 pouces, pris par Lucien Roberge, Gaston Boucher, et Louis-David Paré. Bernard Baillargeon a pris lui un maskinongé de 39 pouces.
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (6 juil. 1961) : 14-15.


1961-07-06, p14-p15, pêche et poisson.jpg
Journal
Robert Charest et Yvon Coulomb , maskinongés.JPG
Livre 32-FMT-001
A cote de l'auto-parts.jpg Disque patrimoine
LA RUE SAINT-LOUIS VERS 1950

Il fait un soleil éclatant. La rue Saint-Louis est animée. La scie ronde lance des cris plaintifs chez mon oncle Edmond. Peel coupe du bois. En le regardant faire, je pense à la fois où il avait attelé Dugal, notre sympathique fou du village, à une grosse charrette à grands manches remplie de bois. Il devait livrer son chargement en haut de la côte qui conduisait chez Léon Alarie. En redescendant à lège, il dévala 1a petite côte à toute vitesse en galopant comme un cheval fringuant. I1 s'amusait ferme. Roch et moi étions assis sur la galerie d'à côté, celle qui donnait justement sur le petit chemin. On le vit apparaître au coin du garage, Il nous vit aussi. Heureux d'avoir des spectateurs, i1 sauta encore plus haut et il tomba. Roch était mort de rire. Dugal releva la jambe de son pantalon, nous montrant son genou ensanglanté. Il riait aussi. Il repartit aussitôt en pirouettant. Un vrai clown de cirque. Roch a parlé de cet incident jusqu'à la fin de ses jours. Chaque fois, il riait aux éclats. (P.185 livre 42-FFT-002)
Livre 42-FFT-002
Quand j'ai vu l'annonce la première fois, je l'avais classée dans les usines, avec l'intention de demander où était cette usine. On a bien ri de moi, hihihi.

Annonce de l'arrivée d'un bébé, père Roland Houle, LB04-P111.JPG
LB G.-P N.
Enterrement de vie de garcon de Raymond Pépin, LB05-P0D_0.JPG LB G.-P N.
Enterrement de vie de garcon de Raymond Pépin, LB05-P0D_1.JPG LB G.-P N.
Enterrement de vie de garcon de Raymond Pépin, LB05-P0D_2.JPG LB G.-P N.
Vie d'autrefois, LB05-P18.JPG LB G.-P N.
Poutine, 1975, LB08-P159.JPG LB G.-P N.
J'ai entendu une version un peu différente pour le mot poutine. Quand Henri c'est préparé le même repas que son client, il aurait dit verbalement à sa femme "Chéri, t'sais que tu sauras que ca fait une méchante poutine", sauf ici que Henri utilisait le mot 'poutine' dans le sens commun, considéré comme un mélange de toute sorte de choses (et pas nécessairement des aliments). De là est né le terme 'poutine' pour désigner un met composé de frites, sauce et fromage.

Poutine, LB08-P163.JPG, Paru dans l'Union du 22 nov. 1977, p.8
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La poutine, 05-FGN-048, CA-00013.JPG Livre 05-FGN-048
Les guédilles, 05-FGN-048, CA-00012.JPG Livre 05-FGN-048
Ferdinand Martel et ses patates volantes. Mr. Sam Boulanger (agronome).

Annecdote, 18-DLL-011, p.16.jpg
Livre 18-DLL-011
Expression de langage_1, LB52.JPG
LB G.-P N.
Expression de langage_2, LB52.JPG
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Mise à jour le 25 janv. 2022.