Personnalités de Princeville



Jacinthe Larivière Autres personnalités Maire Bénévoles de l'année
Édouard Leclerc Pierre Prince


Charles-Édouard Bélanger, Pierre Prince , Louis-Eusèbe Richard, J-Octave Bourbeau, Édouard Richard, Henri D'Arles, Wilfrid Laurier, Louis-Arthur Richard, J-Auguste Richard, Sir Lomer Gouin, Louis Lavergne, Marie-Mélanie Landry, Marie-Louise Lavergne, Renaud Lavergne, Joseph Lavergne, Louis-Joseph Gravel, Jessie Bettez, Joseph Bettez, Louis-Joseph-Pierre Gravel, Gravelbourg, Alphonse Gravel, Émile Gravel, Henri Gravel, Maurice Gravel, Guy Gravel, Laurianne Gravel, Georges Hébert, J-Arthur Morissette.

Histoire de Princeville, PABF p.32.jpg

Histoire de Princeville, PABF p.33.jpg
Livre P.A.B.F. 05-FGN-036
Noms Célèbres, 1997, LB21-P0C.JPG LB G.-P N.
Noms Célèbres, 1997, LB21-P01.JPG LB G.-P N.
Vous pourrez trouver de l'information supplémentaire dans la section 'Villes périphériques' sous St-Louis-de-Blandford.

Héon Charles, fondateur des Bois-Francs, 43-17.jpg
Expo 1998 - Film 43
Philippe Héon, Ulric Héon, Berthe Héon.

Famille Charles Héon, 19-DIV-061, p. 33.JPG
Livre 19-DIV-061
Édouard Leclerc. Premier colon du canton de Stanfold et fondateur de la paroisse St-Eusèbe. Il arriva en mars 1832 et se fixa sur les 5e et 6e lots du 12e rang de Stanfold, près de la rivière Nicolet. Il avait environ 24 ans et était célibataire. Il épousa à Gentilly , le 8 avril 1839, Marie-Zoé Landry Bercase de Stanfold. À un moment donné, il pouvait réunir autour de sa table 22 enfants, 7 de son premier mariage et 15 de son second avec Odile Poisson. Il a toujours occupé la même terre jusqu'à sa mort le 28 mars 1878 à l'âge de 70 ans. Il était de taille moyenne. La même année de son arrivée, François Pellerin et Narcisse Béliveau, entre autres, vinrent le rejoindre. Et c'est en l'honneur de ces trois défricheurs que l'on a érigé un monument dans le 12e rang est.

Leclerc Édouard, 15-10.jpg
Expo 1998 - Film 15
Carton Noir B5 -12
Mosaique Leclerc.jpg Photo supplémentaire d'Édouard Leclerc Disque patrimoine
BAILLARGEON, Charles-Flavien (1833-1901)

Le nom de Charles-Flavien Baillargeon, quatrième curé de Stanfold (1874-1886), doit surtout être retenu comme ayant été le premier à raconter l'histoire de Princeville et de Princeville paroisse. Jamais le curé Baillargeon ne publia son manuscrit. Charles-Édouard Mailhot évita toutefois que celui-ci ne se perde dans la nuit des temps en le reproduisant dans le premier tome des Bois- Francs.
Livre du 150e, p.309 Livre 150 iem
Pierre Prince. En l'honneur duquel on donna le nom de Princeville à la nouvelle corporation qui formait le nouveau village de 1856. Arrivé quelques temps après Édouard Leclerc, il se fit remarquer par sa générosité. Sa maison servit de mission aux quatre missionnaires qui ont oeuvré ici avant l'arrivée du curé Racine. Au décès de l'abbé Bélanger, on l'exposa dans sa maison avant de le transporter à Somerset. Pierre Prince céda pour 6 livres (24$) un terrain d'une superficie de 8 1/2 arpents pour la construction d'une église et d'une école. En 1851, il ouvrit un commerce qui prospéra rapidement, mais qui périclita aussi rapidement. Il quitta Princeville en 1855 pour Ham-Nord où il mourut le 22 février 1863 à l'âge de 67 ans. Apprenant la nouvelle, le curé Pelletier et les marguilliers demandèrent que son corps soit ramené à Princeville, ce qui fut accepté. Il a été inhumé sous l'église paroissiale le 25 février 1863. Il était l'époux de Marguerite Pratte.

Pierre Prince, Livre 100 iem, p27.JPG
Prince Pierre, 15-11.jpg

Photo supplémentaire de Pierre Prince et rassemblement des Prince
Livre 100e
Expo 1998 - Film 15
Livre 19-DIV-061 p.193
Carton Noir B5 -40
Mosaique Prince.jpg Photo supplémentaire de Pierre Prince et rassemblement des Prince Disque patrimoine
Il a été maire de Princeville à trois reprises. Il avait un commerce juste à coté de celui de Pierre Pince, et en 1857 il rachète les propriétés de Pierre Prince.

Richard Louis Eusèbe, conseiller législatif St-Eusèbe, 19-13.JPG
Louis Richard, 19-DIV-061, p.384 et 385.JPG
Expo 1998 - Film 19
Livre 19-DIV-061 p.193
RICHARD, Louis-Eusèbe (1817-1876)

« C'est en mémoire de Louis-Eusèbe Richard que Saint-Eusèbe fut donné pour patron de Stanfold, en 1848 3 ». Après s'être établi le long de la rivière à son arrivée en 1840, M. Richard ouvre un magasin au village. II s'y révélera un commerçant doué et avisé qui prospérera rapidement. C'est à M. Richard que revient le titre de premier maire de Princeville. Tout comme Pierre Prince, les témoignages à son sujet révèlent que l'homme est effectivement fort apprécié de ses concitoyens. II fut en outre conseiller législatif.

Au moment d'établir le tracé du chemin de fer, il favorisa son détournement vers le village, ce qui ne semblait pas prévu au départ. Au moment de sa mort, il laissa derrière lui une fortune qualifiée de considérable pour l'époque.

Lors de ses funérailles, à Princeville en novembre 1876, « les porteurs du poêle [drap couvrant le cercueil] étaient les honorables Doslaster et Proulx, conseillers législatifs; l'honorable Charles Cormier, sénateur, Wilfrid Laurier, A. Gagnon et Charles Pacaud. Sa dépouille mortelle fut déposée dans l'église 4 ».

À l'instar de ce qui avait été fait au moment du décès de Pierre Prince, le conseil municipal fit paraître des avis dans La Minerve, Le Journal de Québec et L'Union des Cantons de l'Est. On voulait ainsi rendre un dernier hommage à cet homme dont on reconnaissait, parmi les qualités, la probité et l'intégrité.
Livre du 150e, p.314 Livre 150 iem
La femme de Louis Richard est Hermine Prince.

Louis Richard et Pierre Prince, 2e et 3e marchand, 19-DIV-061, p.52.JPG
Livre 19-DIV-061
Famille Richard, LB01-P52_2.JPG
L'honorable Louis Richard, 19-DIV-060, p.345.JPG
LB G.-P N.
Livre 19-DIV-061 p.193
Louis Richard était journaliste aussi

1867-01-10, agents union, L.Richard Stanfold.jpg
Journal
Fils de Louis-Eusèbe Richard.

Richard Edouard, 23-14.jpg
Édouard Richard, avocat, 19-DIV-061, p.338 à 344.JPG
Expo 1998 - Film 23
Livre 19-DIV-061
Édouard Richard. Né à Stanfold en 1844. Avocat, il travailla en association avec Wilfrid Laurier. Il a été député de Mégantic et shérif des territoires à Battleford. Il a écrit le livre "Acadia" sur l'histoire des Acadiens. Archiviste canadien à Paris, il mourut à Battleford, Saskatchewan en 1904.

Richard Édouard, 5-02.jpg
Expo 1998 - Film 5
Carton Noir B5 -13
RICHARD, Édouard (1844-1904)

Né à Princeville, Édouard Richard est le fils de Louis-Eusèbe Richard. Reçu avocat en 1868, il fut associé au bureau de Wilfrid Laurier et d'Eugène Crépeau qui pratiquaient à Arthabaska. Archiviste du gouvernement canadien à Paris, il doit surtout son entrée dans l'histoire pour avoir été l'auteur de « Acadie, reconstitution d'un chapitre perdu de l'histoire d'Amérique » , « un factum logique et serré contre Parkman, Harvey et quelques autres historiens qui avaient tenté d'attribuer à la mauvaise conduite des Acadiens leur persécution par le gouvernement Lawrence ». Acadie, en fait, a été publié par Henri d'Arles, qui a repris le manuscrit de Richard.
Livre du 150e, p.314 Livre 150 iem
Edouard Richard, LB01-P165.JPG

Édouard Richard, 1844, 03-FGN-035, P.64.JPG
LB G.-P N.
Livre 12-FFB-007 p.14
Livre 03-FGN-035
Né à Princeville en 1858.

J-Auguste Richard, LB01-P144.JPG

J-Auguste Richard, 03-FGN-035, p.90.JPG
LB G.-P N.
Livre 03-FGN-035
RICHARD, J.-Auguste (1858-1924)

Né à Princeville, installé à Montréal, J.-Auguste Richard devint un riche industriel, président de la compagnie Fashion Craft. II fut membre du conseil d'administration de l'hôpital Notre-Dame, gouverneur de l'Université de Montréal et président de l'Institut Bruchésie.
Livre du 150e, p.314 Livre 150 iem


Joseph-Ena Girouard, né à Stanfold en 1855, étudie au Collège commercial de Princeville et au séminaire de Nicolet, puit fait un stage au cabinet du notaire Louis Lavergne, à Princeville. Il occupe la fonction d'avocat aux trois cabinets d'Arthabaska, de secrétaire-trésorier d'Arthabaska et de directeur de la banque Jacques-Cartier. Déménagé à Drummondville, il est élu maire puits député libéral de Drummond-Arthabaska. Il part au Yukon avec son frère Delphis et leurs amis Ferdinand Beauchesne, Adélard St-Laurent, et William Wadleigh et occupe la fonction de registraire du territoire. Durant la ruée vers l'or, il devient riche, mais perd tout au poker. Il revient au Québec pratiquer le droit à Montréal, puis à Arthabaska en tant que shérif du district. Il habite rue Beauchesne. Il épouse Emma E. Watkins, qui lui donne 6 enfants, puis Cléophile Marcil et enfin Régina Smith. Décédé en 1937, il est inhumé à Arthabaska. (réf. 13-MON-029, p.71)

Joseph-Éna Girouard, Visage du siècle, ET-FBB-024-p27.JPG
Joseph-Éna Girouard, Visage du siècle, ET-FBB-024-p27 (d).JPG
Enveloppe 16-FBB-068
Joseph-Ena Girouard. Né à Stanfold le 17 juin 1855. Fils de Joseph Girouard, il fut reçu notaire à Stanfold le 19 mai 1881 et s'établit à Drummond la même année. Il s'y maria le 6 septembre 1882 à Emma Watkins. Élu député libéral du comté provincial Drummond-Arthabaska le 4 mars 1886 jusqu'en 1898, et maire de Drummond le 2 mars 1889, le premier maire élu. Il fut reçu avocat le 9 janvier 1897 et aussi registraire du conseil du Yukon (Klondike) de 1889 à 1908. Sheriff à Arthabaska, ami de Laurier. Emma Watkins meurt le 30 août 1926. Rempli de regrets (?) un mois plus tard il se mariait avec Régina Suretti à Nicolet. Il mourut le 2 décembre 1937 à 82 ans à Arthabaska ou il est enterré.

Est-ce Régina Smith ou Régina Suretti.

Girouard Joseph-E., 16-03.JPG
Girouard Joseph Éna né à Princeville 17-06-1855 reçu notaire à Princeville le 19-05-1881 s’établit à Drummo, 15-23.jpg
Expo 1998 - Film 15 et 16
Carton Noir B5 -28
GIROUARD, Joseph-Éna (1855-1937)

Né à Stanfold en 1855, Joseph-Éna Girouard, qu'on disait ami personnel de Wilfrid Laurier, y fut notaire en 1881. La même année, il quitte pour s'établir à Drummondville, où il sera nommé maire en 1889. Entre-temps, soit en 1886, il est élu député libéral provincial du comté de Drummond-Arthabaska. En 1898, il démissionne pour prendre le poste de registraire du Yukon que lui offre Laurier. À ce titre, c'est à lui que revient la charge de concéder les terres dans le cadre de la ruée vers l'or que connaît alors la région.

Après dix ans là-bas, il revient pratiquer le droit à Montréal qu'il quitte en 1916 pour s'installer définitivement à Arthabaska.
Livre du 150e, p.311 Livre 150 iem
Laquelle ?

Epouse de Joseph-Ena Girouard, LB39-P16.JPG
LB G.-P N.
Joseph-Ena Girouard, LB12-P125.JPG LB G.-P N.
Joseph-Ena Girouard, raconte par son petit fils Jean Genest, LB12-P124.JPG
Joseph-Ena Girouard, Jean Genest, LB12-P126.JPG
LB G.-P N.
Urgel Méderic Poisson, premier médecin de Stanfold, 19-DIV-061, p.472.JPG Livre 19-DIV-061
Urgèle-Médéric Poisson, premier médecin, 19-DIV-061, p.54.JPG Livre 19-DIV-061
Suzor Coté a son atelier de Montréal, CL-PER-011.JPG Classeur - PER
Livre 19-DIV-060 p.352
Suzor Coté, visage d'un siècle.jpg
Livre 32-FMT-001
Joseph Lavergne et Louis Lavergne, (photos), 19-DIV-061, p.129.JPG Livre 19-DIV-061
Il a été maire de Princeville à trois reprises.

Louis Lavergne, Visage du siècle, ET-FBB-024-p36.JPG
Louis Lavergne, Visage du siècle, ET-FBB-024-p36 (d).JPG

Livre de Renaud Lavergne
Enveloppe 16-FBB-068
LAVERGNE, Louis (1845-1931)

Notaire à Princeville de 1871 à 1887, Louis Lavergne rejoignit également l'étude légale de Laurier. II fut député à Ottawa puis sénateur.
Livre du 150e, p.312 Livre 150 iem
Louis Lavergne, 19-DIV-061, p.450.JPG Livre 19-DIV-061
Hon. Juge Joseph Lavergne. Avocat, Joseph Lavergne a pratiqué à Princeville de 1872 à 1874. Il est né le 28 octobre 1847 de Louis-David Lavergne et de Marie-Geneviève Delagrave. Admis au barreau en janvier 1872, il s'établit immédiatement à Princeville. En 1874, il forma une société légale avec Sir Wilfrid Laurier à Arthabaska. Il fut député d'Arthabaska aux communes de 1887 à 1897, années ou il fut nommé juge de la Cour Supérieure. Il décéda à Montréal le 9 janvier 1922. Il était le frère du sénateur Louis Lavergne.

Lavergne Joseph, 15-14.jpg

Joseph Lavergne, 19-DIV-061, p.451.JPG
Expo 1998 - Film 15
Carton Noir B5 -24
Livre 19-DIV-061
LAVERGNE, Joseph (1847-1922)

Avocat à Princeville de 1872 à 1874, Joseph Lavergne rejoint l'étude de Laurier à Arthabaska à ce moment. II fut député, juge à la Cour supérieure de Hull et de Montréal et juge à la Cour du banc du roi (devenue Cour d'appel).
Livre du 150e, p.312 Livre 150 iem
Paru dans L'union des Cantons de l'est en 22 aout 2001, dans le cahier souvenir.



Joseph Lavergne.jpg
Journal
Joseph Lavergne, LB01-P81_1.JPG LB G.-P N.
Joseph Lavergne visite son comté «pour rendre comte à ses électeurs de sa conduite parlementaire». Il est passé par Stanfold, Tingwick et Sainte-Hélène. Demain, il sera à Saint-Guillaume et Saint-Bonaventure. No d'identification : 11 911

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 23, no 30 (27 juillet 1889) : 2.


Journal
Épouse de Joseph Lavergne, article de Alain Bergeron.

Émilie Barthe, CL-PER-056, p1.jpg
Émilie Barthe, CL-PER-056, p2.jpg
Classeur - PER
Il y a des documents supplémentaires dans la section 'Villes périphériques' sous-section 'Arthabaska'.

Groupe avec Wilfrid Laurier, 23-18.jpg
Expo 1998 - Film 23
LAURIER, Sir Wilfrid (1841-1919)

Si le nom de Sir Wilfrid Laurier, premier ministre du Canada (1896-1911), doit être retenu par la population de Princeville, ce n'est pas parce qu'il y est né ou qu'il y a vécu. C'est plutôt qu'à l'époque où il pratiquait le droit à Arthabaska, il a de nombreuses fois agi à titre de conseiller juridique de la muni-cipalité.
Livre du 150e, p.312 Livre 150 iem
Wilfrid Laurier à Princeville vers 1900.jpg Livre 13-MON-029 p.26
Alphonse Désilets, visage d'un siècle.jpg
Livre 32-FMT-001
Joseph-Albert Forand, visage d'un siècle.jpg
Livre 32-FMT-001
Louis-Philippe Hébert, visage d'un siècle.jpg
Livre 32-FMT-001
Dr. Joseph Bettez et Dr. Louis-J. Gravel, 19-DIV-060, p. 257.jpg Livre 19-DIV-060
Premier médecin des Bois-Francs.

Dr. Joseph Bettez, 19-DIV-060, p.357.JPG
Livre 19-DIV-060
Dr. Louis-J. Gravel. Médecin à Stanfold de 1868 à 1878. Louis était marié à Jessie Bettez de Somerset depuis quatre ans quand il déménagea à Stanfold. C'est ici que le couple donna naissance à Pietro. Arrivés à Arthabaska avec huit enfants, ils se lièrent d'amitié avec les Lavergne et Wilfrid Laurier qui fut le parrain de l'un de leurs enfants. En plus d'être le médecin-coroner du district, il fut le premier médecin attaché à l'Hôtel-Dieu d'Arthabaska.

Dr Gravel Louis J., 13-01.jpg
Dr Gravel Louis J., 12-22.jpg
Expo 1998 - Film 13
Carton Noir B5 -10
Docteur Louis-Joseph Gravel, LB01-P62_1.JPG
Docteur Louis-Joseph Gravel, LB01-P62_2.JPG
Dr. Louis-Joseph Gravel, 19-DIV-060, p.348 à 352.JPG
LB G.-P N.
Livre 19-DIV-060
Docteur Louis-Joseph Gravel, LB01-P80.JPG
Docteur Louis-Joseph Gravel, LB01-P80_2.JPG
LB G.-P N.
Jessie Bettez-Gravel. Jessie était l'épouse du docteur Louis Gravel. Ils se rencontrèrent alors que Jessie avait 13 ans et en repartant, Louis Gravel dit - "Je viendrai la chercher un jour". Veuf d'un premier mariage, Louis épousa Jessie à Somerset le 2 juillet 1864. Le couple eut 14 enfants.

Gravel Jessie Bettez, 12-23.jpg
Mme Jessie Bettez-Gravel, 19-DIV-060, p.353 et 354.JPG
Jessie-Bettez Gravel, LB01-P64.JPG
Expo 1998 - Film 12
Album brun 98 - PER
Livre 19-DIV-060
LB G.-P N.
Ici c'est le fils du docteur qui est partis fondé Gravelbourg.

Docteur Louis-Joseph Gravel, LB01-P63.JPG
LB G.-P N.
Louis-Pietro (Pierre) Gravel. Louis-Pierre Gravel.

Louis-Pietro (Pierre) Gravel, 03-FGN-035, P.109.JPG

Joseph Pietro Gravel, LB01-P61.JPG
Livre 03-FGN-035
LB G.-P N.
Livre 05-FGN-045
Livre 12-FFB-007 p.15
GRAVEL, Louis-Pierre (1868-1926)

Né à Princeville, Louis-Pierre Gravel est le fondateur de Gravelbourg en Saskatchewan. II était le fils de Louis Gravel, médecin de Princeville entre 1868 et 1878, et de Jessie Bettez.
Livre du 150e, p.311 Livre 150 iem
Louis-Pietro (Pierre) Gravel. Il fonda la paroisse de Gravelbourg dont il fut le curé. Pietro est né à Princeville le 8 août 1868, du docteur Louis Gravel et de Jessie Bettez. Il fut ordonné prêtre à Arthabaska en 1892. Le lendemain, il fut nommé vicaire de la paroisse St-Jean-Baptiste à New-York ou il demeura 13 ans. A la demande de l'évêque de St-Boniface de Sasketchewan, il se fit missionnaire dans ce diocèse et fonda Gravelbourg (nommé en son honneur). En 1911, durant le seul mois d'avril, on estime à 3000 canadien-français qui s'établirent dans l'ouest suite à la sollicitation de l'abbé Gravel. Lors de son décès, le 10 février 1926, il était missionnaire-colonisateur pour le diocèse de Régina. Louis-Pierre Gravel.

Gravel Pietro, 12-21.jpg
Expo 1998 - Film 12
Carton Noir B5 -33
Livre 19-DIV-060 p.256
Jobin Louis, entre 30 et 35 ans, 44-06.jpg Expo 1998 - Film 44
Louis Jobin, sculpteur-statuaire. Le plus célèbre du Québec et auteur de la statue extérieure de St-Eusèbe.

Louis-Jobin , sculpteur-statuaire, CB-PAR-001.jpg
Jobin Louis , une des premières photos, 44-07.jpg
Album brun 98 - PAR
Expo 1998 - Film 44
Dans l'église de Ste-Gertrude, le chemin de croix est de l’artiste Joseph Uberti, peintre et architecte décorateur de Paris. Une lettre en date du 3 octobre 1911, confirme la commande des quatorze stations peintes en huile sur toile, signées par l'artiste, avec leur cadre de bois peint et doré. La somme totale pour l’ensemble de l’œuvre est de 350.00$. Les notes historiques des architectes Caron de Nicolet indiquent que l’artiste Joseph Uberti est venu au pays pour réaliser des contrats en leur faveur. Il a produit des peintures sur toile pour la cathédrale de Nicolet en 1909-1910. On peut aussi admirer ses oeuvres dans l’église Ste-Victoire de Victoriaville .

Uberti Joseph avec Caron, 44-22.jpg
Expo 1998 - Film 21
Uberti Joseph, peintre, 44-08.jpg Expo 1998 - Film 44
James Houston

Union des Cantons de l'est (14 dec. 1889) : 2-3

1889, 12-14 p2-p3, James Huston.jpg
Journal
1864-1872    F.X. Pratte, notaire. Il a été le premier notaire de Stanfold où il a pratiqué de 1844 à 1872. Né à St-Grégoire en 1818, il a épousé une demoiselle Beaudet. Reçu notaire le 30 avril 1844, il vint aussitôt s'installer à Stanfold où il mourut le 1er avril 1873. Il a été marguillier, maire du village de Princeville et membre du conseil du comté d'Arthabaska. En 1867, lors des élections générales, sa candidature fut offerte, mais il refusa cet honneur.

Pratte, F.-X., premier notaire de Stanfold, 23-12.jpg
Expo 1998 - Film 23
Carton Noir B5 -20
F.X. Pratte et Napoléon Pratte

Union des Cantons de l'est (11 fev. 1898) : 2-3

1898-02-11 p2-p3, famille Pratte_1.jpg
1898-02-11 p2-p3, famille Pratte_2.jpg
Journal
Louis-Étienne-Napoléon Pratte,
Antonio Pratte,
Évariste Pratte,
Leur père serait François-Xavier Pratte.


Pour des photos de piano, aller voir la section antiquité.

La famille Pratte, CL-PER-055.JPG
Classeur - PER
On attire l'attention sur un article tiré d'un journal new yorkais, le «Music and Drama», qui relate sa rencontre avec un jeune marchand de pianos de Montréal, il est originaire de Stanfold L.E.N. Pratte. M. Pratte parle de son expertise en matière de pianos et d'orgues et de son magasin de la rue Notre-Dame, à Montréal, qui comprend un stock considérable. L.E.N. Pratte a sa publicité à chaque page 3 de l'Union des Cantons de l'Est (voir remarque). - Article tiré du «Moniteur du Commerce» du 9 nov. 1883, vantant les mérites de la maison de pianos de L.E.N. Pratte de Montréal, qui est l'une des meilleures et qui a su inspirer la confiance de la clientèle. Chaque pièce est fabriquée spécialement pour lui et examinée avec soin. Sa marchandise provient de la fabrique Dominion de Bowmanville (Ontario) ou de la fabrique Hazelton (New York) (17, 52, p. 2). - Autre lettre de satisfaction, 8 mars 1884 (18, 13, p. 2). - On présente un extrait du rapport des juges des instruments de musique à l'Exposition de la Puissance de Montréal en 1884, qui prouve que la maison de L.E.N. Pratte de Montréal est toujours au premier rang en ce domaine (liste de certains modèles d'orgues et de pianos et de leurs améliorations) (19, 6, p.2). No d'identification : 13 063

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 17, no 34 (04 août 1883) : 2 (suite: 17, 52, p. 2; 18, 13, p. 2; 19, 6, p. 2).


Journal


Union des Cantons de l'est (12 mai 1911) : 2-3

1911-05-12 p2-p3, Louis Étienne Napoléon Pratte.jpg
Journal
François-Xavier Pratte, 19-DIV-060, p.346.JPG Livre 19-DIV-060
François-Xavier Pratte, premier notaire, 19-DIV-061, p.54.JPG Livre 19-DIV-061
Joseph Girouard,
Émilie Descormiers,
Célina Pacaud,
Charles Pacaud,
Raoul Girouard,
Théophile avait plusieurs scieries dans la province.
Il était capitaine de milice (policier) et juge de paix. A été maire de Princeville pendant 7 ans. Il a traversé l'océan 30 fois.


On peut trouvé d'autre documentation dans la section famille.

Avec James Huston et le Dr. Gravle ont fondé 'La cie manufacturière de Stanfold' une fabrique de chaussures.


Théophile Girouard, fiche.jpg
Internet
Baptisé Irénée Bernard.
François Bordeleau (père).
Rosanna Morin
Charles-Alphonse Bordeleau
Antoniella Bordeleau
Marie-Louise Bordeleau
Valentine Bordeleau
Camilien Bordeleau
Lazare Beordeleau
Moïse Bordeleau
Hermann Brunault
Pape Grégoire XVI.

Il a eu un magasin général pendant environ 39 ans, soit de 1882 à 1921.
Distinction papale en 1934 Bene Merenti.


Alphonse Bordeleau, fiche.jpg
Internet
Edmond Thiboutot. Entrepreneur en construction de toutes sortes, il a déjà eu jusqu'à cent employés sous ses ordres. Parmi ses réalisation, il faut citer : le monument Charles Héon, le barrage Girouard, le deuxième Hôtel de ville de Princeville, la maison du notaire Boudreau, de Fernand Baril et de Marcel Raymond, l'Hôtel des Érables, Les tricots Duval & Raymond Ltée, la Quincaillerie St-Pierre inc. Il a définitivement laissé sa marque. Son mariage avec Alma Beaudet a été le premier célébré dans l'église actuelle. Auparavant, il s'est cassé une jambe en attachant un câble dans l'oeil-de-boeuf de la première église, lors de sa démolition.

Thiboutot Edmond, overexposed, 21-10.jpg
Thiboutot Edmond, overexposed, 21-11.jpg
Expo 1998 - Film 21
Carton Noir B5 -14
Photo Musée McCord : Georges-Jérémie, Georgiana et Susanne, 1864

PACAUD, GEORGES-JÉRÉMIE (1816-1896)

Georges-Jérémie Pacaud, bourgeois, né à Batiscan, Québec, le 31 mars 1816, décédé à Princeville, Québec, le 16 septembre 1896. Il avait épousé Marie-Georgiana C. Mondelet à Montréal en 1853. Enterré au Cimetière Mont- Royal.

Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet


Pacaud et sa femme.jpg

Photo supplémentaire et documentation des Pacaud
Disque patrimoine
PACAUD, Georges-Jérémie ( ? -1896)

Issu d'une famille bien en vue au pays, Georges-Jérémie Pacaud était un homme d'affaires influent de Stanfold. L'histoire locale retiendra son nom pour avoir nié l'infaillibilité du pape, ce qui fit scandale à la grandeur du pays.

Georges-Jérémie Pacaud est né à Batiscan entre 1817 et 1821. Incidemment, nous n'avons pu repérer de document qui nous aurait permis de préciser l'année exacte. Du reste, il n'a pas été simple d'identifier celle de sa mort. Quoi qu'il en soit, il reçut, à l'instar de ses frères, une éducation libérale, marquée aux idées nouvelles de France que véhiculaient les livres de la maison.

Quand vint l'insurrection de 1837, les frères Pacaud y étaient, au premier rang d'ailleurs plutôt qu'en seconde ligne. Une fois la tourmente passée, cinq d'entre eux s'établirent dans les Bois-Francs : deux à Arthabaska, un à Saint-Norbert et deux à Stanfold (Georges-Jérémie et Charles-Adrien). Leurs idées libérales, leur zèle à les défendre heurtèrent cependant de plein fouet les idées qui prévalaient localement. Très tôt, le clergé conservateur les prit en grippe. Georges-Jérémie, plus spécialement, n'avait pas la réputation de garder pour lui ses opinions, ce qui l'opposait directe-ment au curé d'alors qui n'hésitait pas à pourfendre en chaire les libéraux. La coupe déborda quand le Concile Vatican I proclama l'infaillibilité du pape. En fait, l'histoire commence quand lors d'une confession, le curé tente de convaincre Mme Pacaud (Ève Mondelet) de la pertinence du dogme. C'était mal calculé, la dame ne voulait rien savoir. La situation s'envenima, les cris et les insultes fusèrent de toutes parts. Finalement, Mme Pacaud quitta les lieux en claquant des talons.

C'est ici qu'éclate le scandale. Rappelons-nous, la famille Pacaud est une famille bien en vue au pays. La presse protestante anglophone fait ses choux gras de l'histoire, d'autant que Georges-Jérémie et son épouse adhèrent désormais à la religion anglicane. Dès lors, ils vivront à l'écart. Georges-Jérémie décédera à Princeville le 16 septembre 1896 et sera inhumé à Montréal.
Livre du 150e, p.313 Livre 150 iem
Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet

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Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet

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Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet

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L’infaillibilité pontificale. C’est l’épouse de Jérémie Pacaud, Gcorgiana Mondelet, fille du juge Mondelet, qui mit le feu aux poudres. Elle tenait chez elle un salon littéraire dans sa belle maison de Princevillc. Elle y recevait l'élite libérale locale. On est au courant de ce qui se passe ailleurs et on n'est pas tendre pour le clergé ultramontain, qui pour sa part fait des pieds et des mains contre les libéraux parce qu'on craint que ce courant n'amène la laïcisation de la société (lui faisant évidemment perdre son pouvoir qu'il juge supérieur à celui de l'État). L'année même de sa proclamation, le cercle littéraire se prononce ouvertement contre le dogme de l'infaillibilité papale. À l'occasion d'une confession, le curé (de Saint-Eusèbe de Stanfold) l'accuse ouvertement de refuser de se soumettre. Que les pères du Concile pouvaient se passer de ses opinions sur la question et il lui refuse l'absolution. Le ton monte à la sacristie devant d'autres fidèles et M.Pacaud quitte l'église en furie. Le couple devient ouvertement anglican. Étant donné l'importance de ces personnages, la presse anglo-protestante souligna ce différend. Ostracisés par la communauté (dit Edmond LaVergne), les Lavergne auraient habité une maison hantée par le diable. Edmond LaVergne poursuit : "Cela n'empêchait nullement 1a petite société d'Arthabaskaville de venir en bande, danser chez les Pacaud. Champagne et valses s'accordaient très bien." Pour cet auteur, "catholique et français" sont inséparables selon la version ultramontaine du nationalisme d'alors. Donc, inévitablement, ajoute-t-il, "9e couple vécut à l'écart, ne recevant que des amis anglais de Montréal, de Québec et d'Arthabaska." En parfaite contradiction avec ce qu'il vient d'affirmer quelques lignes plus haut. (P.130 et 131 , livre 42-FFT-002)

Ailleurs, il dit encore qu'un certain Théophile Girouard, commerçant de bois important dans la province, possède plusieurs scieries dont celles de Betsiamis et de Princeville. Ou recevait, dit-il, chez madame Girouard, fille de Charles Pacaud et de Céline Boucher de la Bruyère. Femme du monde et amis de la distraction, sa porte était largement ouverte, durant les longues absences de son mari, qui voyageait pour affaires même en Europe. Le whist, ce noble père du bridge, faisait le bonheur des familles bourgeoises de princeville et d'Arthabaskaville qui se fréquentaient beaucoup. On dansait quelquefois chez Mme Girouard et chez Mme Jérémie Pacaud de Princeville, lorsque la jeunesse y était conviée. Le curé tonnait bien le dimanche suivant, les dévotes chuchotaient une semaine durant, puis tout rentrait dans l'ordre jusqu'à la prochaine fois (p 43). Donc, même chez ces libéraux catholiques, l'heure n'est pas à la soumission. "La famille Pacaud a fait beaucoup pour le développement des Bois-Francs, pour les cantons de Stanfold et d’Arthabaska en particulier. Elle n'a pas semé en vain [...]." On voit que son épouse en mène large dans ce mi lieu. Anglicane, la famille le restera jusqu'à la fin. Georges-Jérémie est décédé à Princeville (Standfold) le 26 septembre 1896 à l'âge de 80 ans. Son épouse Marie-Georgiana, beaucoup plus jeune que lui (11 mars 1837 ), le suivra dans la tombe près de quinze ans plus tard, le 11 mai 1910. L'obélisque de la famille au cimetière Mont-Royal à Montréal rappelle à tous le passé patriote de son mari. De nombreux autres membres de la famille les y accompagnent, certains ayant gardé cette tradition jusqu'à nosjours (ainsi Georges-Washington Pacaud, (1869-1927) et son épouse Henriette Fauteux (1880-1923). Plusieurs Mondelet se sont alliés avec la famille Pacaud dans cette lignée protestante. La dernière inscription du monument étant Lucille Pacaud (1907-2013, 106 ans, restée Célibataire).» (Société d'histoire du protestantisme franco-québécois)" (P.131 du livre 42-FFT-002)
Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet

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Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet

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Georges-Jérémie Pacaud et Eve Mondelet

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Disque patrimoine
Architecte, né le 27 août 1830 à Québec, fils de John William (Jean-Guillaume) Peachy, tailleur, et de Marie-Angélique Roussel ; décédé le 31 décembre 1903 dans la même ville.

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Expo 1998 - Film 34
Livre 05-FGN-045
Carton Noir B3 -19
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Louis Caron, Visage du siècle, ET-FBB-024-p12 (d).JPG
Enveloppe 16-FBB-068
CARON, Louis.
CARTES & PLANS: originaux . 1911. 7 pièces.
ÉTENDUE LINÉAIRE /NOMBRE DE PIÈCES: 7 pièces. (a voir/ et récupéré ***)
Louis Caron est né le 5 février 1871 à Stanfold (Princeville) du mariage de Louis Caron, architecte, et de Césarie Desrochers.
En 1886, la famille vient s'établir à Nicolet. C'est dans ces années que furent mises sur pied la compagnie de construction Louis Caron et Fils Limitee et la manufacture de bois ou l'on produisait les divers ouvrages de sculpture nécessaires à la réalisation des édifices. Au meilleur de sa production la manufacture employait plus de deux cents personnes.
Louis Caron a construit 34 églises dont plusieurs dans le diocèse de Nicolet. Bien que spécialisé dans la construction d'églises, Louis Caron a aussi construit plusieurs édifices publics et quelques maisons de communautés religieuses.
En 1907, Louis Caron est élu conseiller de la ville de Nicolet. Deux ans plus tard, il sera élu maire et le demeurera jusqu'à son décès.
Le 13 juillet 1893 il épouse à Nicolet, Eugénie Roy. De ce mariage sont nés onze enfants. Louis Caron est décédé à Nicolet le 18 février 1926, à l'âge de 55 ans. Après son décès, la manufacture est vendue et la compagnie dissoute.
Cette collection est un don de M. Edouard Lair en 1988.
•TITRES DE SÉRIES:
Plans de l'école des Frères de la Doctrine chrétienne: originaux . 1911. 7 pièces.
ACCESSIBILITÉ: Libre.
INSTRUMENTS DE RECHERCHE: Répertoire sommaire.
No d'identification : No d'identification : 9 090

Archives du Séminaire de Nicolet. Archives du Séminaire de Nicolet / État général des fonds et collections conservés aux archives du Séminaire de Nicolet, C251.


Journal
Louis Caron père, architecte. Il a épousé Césarée Desrochers à Stanfold le 7 juin 1869. Riche d'une bonne expérience en construction acquise avec son père et avec ses qualités de leader, il réalise le premier hôtel de ville de Stanfold di "Place du marché" en 1868. Ce fut le début d'une longue série de réalisations dont la majorité avec sont fils Louis. Il le seconda pour les plans de l'église actuelle. Il s'installer à Arthabaskaville en 1874 qu'il laissera pour Nicolet en 1886, à la demande de l'évêque. Louis et Césarée ont eu onze enfants. Il est décédé le 15 juin 1917 à l'âge de 69 ans.

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Expo 1998 - Film 25
Carton Noir B5 -32
CARON, Louis, premier du nom (1848-1917)'

Louis Caron père et son fils, également prénommé Louis, ont construit à eux seuls une cinquantaine d'églises au Québec, la plupart dans le diocèse de Nicolet. Plus exactement, on en attribue 19 au père et 34 au fils. Parmi celles-ci : Sainte-Victoire, Sainte-Clothilde, Saint-Albert et Sainte-Anne-du-Sault. On leur doit également la très prestigieuse cathédrale de Nicolet, malheureusement démolie à la suite du glissement de terrain dans le cours des années 1950, le musée Laurier, l'ancienne partie de l'Hôtel-Dieu d'Arthabaska, le presbytère d'Arthabaska ainsi que bon nombre de collèges et d'édifices de toutes sortes.

Après s'être installé à Princeville en 1868, Louis Caron déménage à Arthabaska, où viendra le chercher l'évêque du nouveau diocèse de Nicolet (1885), Mgr Elphège Gravel, qui prévoit la construction d'églises. C'est ainsi qu'il s'installe en 1886, de façon définitive, à Nicolet, où il construira son usine.

Louis Caron est également le « menuisier » qu'avait retenu le conseil du village en 1874 pour construire le marché que l'on appellera par la suite l'hôtel de ville. Heureux de la qualité du travail de Caron, les élus lui avaient accordé un bonus.

Note 1 -- Au moment où nous mettions sous presse, Mme Andrée Dricot-Caron de Nicolet préparait un livre sur l'histoire des architectes Caron.
Livre du 150e, p.310 Livre 150 iem
CARON, Louis, deuxième du nom (1871-1926)

Louis, deuxième du nom, est le fils du précédent. Né à Princeville le 5 février 1871, il y fut baptisé sous le prénom de Louis Joseph Polidore. Après avoir assisté son père de nombreuses années, il prit sa relève en 1912. Le population de Princeville retiendra certes son nom pour avoir été un enfant de la place, mais aussi pour avoir construit l'église actuelle.
Livre du 150e, p.311 Livre 150 iem
Louis Caron fils, architecte. Fils de Louis Caron et natif de Princeville, il a été l'architecte de l'église actuelle. Il a fait carrière avec son père avant de lui succéder à la tête de l'entreprise d'architecte et constructeur de plusieurs églises au Québec. Époux d'Eugénie Roy, il est né à Stanfold le 5 février 1871 et est décédé à Nicolet le 18 février 1926 à l'âge de 55 ans.

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Expo 1998 - Film 25
Carton Noir B5 -30
Louis Caron (fils) , Livre 150 iem p.311.jpg Livre 150e
Jules Caron, architecte. A la demande de son frère Louis, architecte et contracteur de l'église, il est venu demeurer à Princeville pour la durée des travaux de construction afin d'en faire la supervision. Et c'est à Princeville qu'est né Jean-Louis, leur second enfant, qui deviendra lui aussi architecte. Jules Caron a dessiné les plans du deuxième hôtel de ville de Princeville. Marié à Blanche Morin, il est décédé en 1942 à l'âge de 56 ans.

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Expo 1998 - Film 25
Carton Noir B5 -29
Jean-Louis Caron. Fils de Jules Caron, superviseur des travaux de construction de l'église, il est à Princeville en 1913. Il deviendra plus tard lui aussi architecte. Il est décédé en 1983.

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Expo 1998 - Film 25
Album brun 98 - PER
Félix Baril, Eustache Baril, Lucie Laneuville. L'Union du 9 juin 1981, p.B-12.

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Classeur - EVE
Livre 19-DIV-060 p.160
Édouard Leclerc, François Pellerin, Narcisse Béliveau. L'Union du 14 juillet 1981, p.B-12.

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Classeur - EVE
Livre 19-DIV-060 p.160
Au centre Jean-Baptiste Marchand, Scholastique Beauchesne, Rosalie Beauchesne, Francois Beauchesne, Prosper Beauchesne. L'Union du 9 juin 1981, p.B-12.

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Classeur - EVE
Livre 19-DIV-060 p.160
Mme Lucie Leblanc, Joseph Dubois, et Odile Dorval. L'Union du 14 juillet 1981, p.B-12.

Personnage, CL-EVE-024.JPG
Classeur - EVE
Livre 19-DIV-060 p.160
Noel Hébert, Pierre Landry-Bercase, 19-DIV-061, p. 97.JPG Livre 19-DIV-061
Joseph Noël Hébert (Jean Rivard le défricheur). Antoine Gérin-Lajoie (1824-1882) publie sa première version de Jean Rivard, le défricheur, en 1862, plusieurs croyait qu'il s'agissait d'une personne réelle. C'est en fait un personnage fictif inspiré de Noël Hébert (1819-1868) de Somerset. Hébert d'origine acadienne, comme Jean Rivard, est un condisciple de Gérin-Lajoie. Il semble qu'ils aient été assez intimes, car Gérin-Lajoie est reçu dans la famille Hébert. Noël Hébert est député de Mégantic quand il sert de modèle pour la création du personnage qui allait devenir myyhique. (réf. 13-MON-029 p.16)

Joseph Hebert, Livre 100 iem, p11.JPG
Livre 100e
Livre 19-DIV-061 p.97
A remarquer ici, on parle de Luc Thibodeau alors que dans le livre du 100e on parle de Léon Thibodeau. Il a été maire de Princeville.

Pierre Prince, Luc Thibodeau, Joseph Houle, Louis-Eusèbre Richard, 19-DIV-061, p.193.JPG
Livre 19-DIV-061


Union des Cantons de l'est (15 janv. 1891) : 2-3

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Journal


Union des Cantons de l'est (26 nov. 1896) : 2-3

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Journal


Union des Cantons de l'est (26 nov. 1896) : 2-3

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Journal
Le notaire Joseph Albert Hébert

Union des Cantons de l'est (24 nov. 1896) : 2-3

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Journal
Le notaire Joseph Albert Hébert

Union des Cantons de l'est (24 nov. 1896) : 2-3

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Journal
Le notaire Joseph Albert Hébert

Union des Cantons de l'est (24 nov. 1896) : 2-3

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Journal
Biographie de Jean Roux le plus ancien marchand.

Union des Cantons de l'est (15 avril 1897) : 2-3

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Journal
Biographie de Jean Roux le plus ancien marchand.

Union des Cantons de l'est (15 avril 1897) : 2-3

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Journal
Biographie de Jean Roux le plus ancien marchand.

Union des Cantons de l'est (15 avril 1897) : 2-3

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Journal
Joseph Houle, Livre 100 iem, p21.JPG
Joseph Houle et Charles Houle, 19-DIV-060, p.286.JPG
Livre 100e
Livre 19-DIV-061 p.193
Narcisse Beliveau, Livre 100 iem, p07.JPG

Narcisse Béliveau, fondateur St-Norbert, 19-DIV-061, p.363 et 364.JPG
Livre 100e
Livre 19-DIV-061 p.193
Pierre Landry Bercase, Livre 100 iem, p17.JPG
Famille Landry-Bercase, 19-DIV-061, p.389.JPG
Livre 100e
Livre 19-DIV-061 p.97
J'aimerais bien savoir quel est le vrai fondateur de St-Norbert, est-ce Pierre Landry-Bercase ou Narcisse Béliveau ? (q?)

Pierre Landry-Bercase, fondateur St-Norbert, 19-DIV-061, p.117.JPG
Livre 19-DIV-061
Ce n'est pas mentionné dans aucun des articles qui suivent mais il a quitté son poste de maire de Princeville en 1858 pour le poste de shérif. On y mentionne qu'il a eu un commerce à Stanfold et qu'il a été en charge de surveillant des chemins publics.

Auguste Quesnel, maire Princeville, en 1858, 19-DIV-060, p. 64.JPG

J.-Auguste Quesnel, 19-DIV-060, p.363 à 368 (0).JPG
Livre 19-DIV-060
J.-Auguste Quesnel, 19-DIV-060, p.363 à 368 (1).JPG Livre 19-DIV-060
J.-Auguste Quesnel, 19-DIV-061, p.346 et 347.JPG Livre 19-DIV-060
Nous avons la carte mortuaire de Désiré O. Bourbeau, mais pas celle de Joseph-Octave Bourbeau. Désiré et Joseph-Octave son frère.

J.-O, Bourbeau, 19-DIV-061, p. 97.JPG

J.Octave Bourbeau, 19-DIV-061, p.416.JPG
Livre 19-DIV-061
M. Bourbeau a tenu un magasin à Stanfold quelques années.

Joseph-Octave Bourbeau et non Bourdeau. Dans le livre des mariages ont parle de Joseph-Octave Boudreau. Né le 21 juillet 1836 à St-Pierre-Apôtre de St-Pierre-les-Becquets.

Fils de Lazare Bourbeau et de Edesse Gauvreau. Il a épousé le 10 septembre1867, à St-Eusèbe de Princeville, Alphonsine Richard. Il est décédé le 24 juin 1927 à Victoriaville. Il ouvrit en 1862 un magasin général à Victoriaville.


J.Octave Bourbeau, 19-DIV-060, p.343.JPG

Joseph-Octave Bourdeau, LB01-P52_2.JPG
Livre 19-DIV-060
LB G.-P N.
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Crochetière Rosaire, ptre, sergent, 41-02.jpg
Expo 1998 - Film 41
Livre 19-DIV-060 p.224
Capitaine-abbé Rosaire Crochetière.jpg Disque patrimoine
Rosaire Crochetière, visage d'un siècle.jpg
Livre 32-FMT-001
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (31 juil. 1908) : 3.


1908-07-31 p2-p3, l'abbé Crochetière.jpg
Journal
Abbé Rosaire Crochetière, 19-DIV-060, p.375.JPG Livre 19-DIV-060
Article monté par Alain Bergeron.

D'autre appelation : J.-O. Dubuc ou J.O. Dubuc ou J-o Dubuc


Joseph Ovila Dubuc (0).gif
Internet
Joseph Ovila Dubuc (1).gif Internet
Joseph Ovila Dubuc (2).gif Internet
Marie-Anna Roberge femme de Georges Philias Nadeau, 05-FGN-045, 13-005.JPG Livre 05-FGN-045

"Mme Georges-Philias Nadeau de Princeville décorée par Sa Sainteté, en reconnaissance de cinquante années d'aide précieuse aux oeuvres charitables et paroissiales".
No. Identification : 15 647

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 68, no 31 (12 juillet 1934) : 6.


Mme G.P. Nadeau et le Bene Merenti, LB33-P23.JPG
1934-07-12, p6, Bene Merenti pour Mme Georges-Philias Nadeau.jpg
LB G.-P N.
Médailles Bene Merenti, LB33-P98.JPG LB G.-P N.
Madame F.X. Poisson. Née  Alice Morin, elle fut, vers la fin de sa vie, la grande dame de Princeville, qui portait l'histoire de sa génération. Elle est née à Princeville le 14 janvier 1886 de François Morin et de Marie-Desanges Gagnon. Le mariage de ses parents fut célébré par Mgr Racine, vicaire au Faubourg à Québec et premier curé de Stanfold. Après un cours d'institutrice, elle dut travailler au magasin paternel où elle resta 45 ans. Mariée à François-Xavier Poisson le 27 janvier 1920. Ils demeurèrent devant l'hôtel des Érables durant 4 ans avant d'acheter la maison de Joseph Baril ( aujourd'hui le bureau du notaire Boudreau - 1998). Elle reçut la médaille BENE MERENTI le 11 octobre 1959. Entrée au foyer St-Eusèbe en 1974, elle décéda le 23 juin 1982.

Poisson Mme F.-X. (Alice Morin) oct 1959 décès 23-06-1982 à 96 ans,19-09.JPG
Expo 1998 - Film 19
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Émile Bélanger, vice-président Princeville Chair, arrivé 1916 décédé 1947 à 69 ans. Gérant de l'abattoir durant 29 ans. En 1916, Émile Bélanger, alors inspecteur fromager, a été mandaté par la S.C.A. des Fromagers de Québec pour relever la situation précaire de l'abattoir. Sa famille le rejoint en 1917. Il resta à la barre de l'abattoir jusqu'en 1945, période durant laquelle une prospérité continue a été enregistrée. Il fut aussi co-propriétaire et vice-président de "Princeville Chair". Il décéda le 9 juin 1947 à l'âge de 69 ans. Trois enfants lui survivent encore aujourd'hui (1998). A l'abattoir, tous l'appelait le "Boss Bélanger", une marque de respect.

Bélanger Émile, gérant Coop, co-prop. , 19-22.JPG
Emile Belanger, Livre 150 iem p.309.jpg
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Carton Noir B5 -18
Livre 150e
BÉLANGER, Émile (1877-1947)

Peu de temps après sa construction en 1915, la gestion de l'Abattoir coopératif s'avéra fort périlleuse au point où l'avenir de l'entreprise s'en trouva carrément menacé. La Société coopérative des fromagers du Québec, à qui les dirigeants de Princeville demandèrent de l'aide, délégua Émile Bélanger, un inspecteur de beurrerie en qui elle avait pleine confiance. M. Bélanger s'acquitta effectivement de sa tâche de brillante façon au point, du reste, où la population ' profite, encore aujourd'hui, de ses succès.

Par ailleurs, M. Bélanger qui était un homme influent, peut être également considéré comme une sorte de guide pour Lionel Baril, à tout le moins comme celui qui l'appuya au moment de faire ses premières armes sur le marché industriel.
Livre du 150e, p.309 Livre 150 iem
André Cloutier, CL-PER-002.JPG
M. André Cloutier 1989 - 08-014.jpg
Classeur - PER
Carrousel 8
André Cloutier, 32 ans de service Caissse Pop., CL-PER-007.JPG Classeur - PER
André Cloutier histoire, CL-PER-006.JPG Classeur - PER
André Cloutier. Secrétaire-trésorier de la ville de 1947 à 1962, il s'est surtout fait connaître comme directeur de la caisse Populaire. Il a aussi été maître de chapelle et a touché l'orgue à l'église. Il est décédé en 2003.

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Cloutier André, sec. tr. De la Ville et dir. Caisse, 25-05.jpg
Classeur - PER
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Lilas Carrière a travaillé de nombreuses années au bureau de poste

Lilas Carrière, CL-PER-021.JPG
Classeur - PER


Est-ce des docteurs de Princeville, LB26-P13.JPG LB G.-P N.
Dr. Brassard, CL-PER-054.JPG Classeur - PER
Deces du Dr. Brassard, LB28-P46.JPG
Docteur Philippe Antoine Brassard, LB03-P13_1.JPG
LB G.-P N.
Dr Philippe Antoine Brassard, LB33-P139.JPG LB G.-P N.
Docteur Paul-Maurice Nadeau. Le docteur Nadeau a été le type du docteur de famille et arracheur de dents. Natif de Princeville, il y a pratiqué la médecine toute sa vie. Il est décédé le 11 mars 1951 à l'âge de 57 ans. Il avait épousé Germaine Cormier qui lui a donné 4 fils et une fille. Son dévouement fait encore le sujet de plusieurs conversations.

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Expo 1998 - Film 27
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Paul-M. Nadeau, médecin, CL-PER-017.JPG Classeur - PER
Dr. Jean-Louis St-Hilaire. Le docteur a pratiqué la médecine à Princeville d'août 1946 à mars 1984. À son arrivée, il s'installe dans le cabinet de Dr. Brassard où il tient aussi une pharmacie. En mai 1954, il ouvre l'hôpital St-Hilaire qui cessera ses opérations le 16 juillet 1977. Impliqué dans plusieurs mouvements sociaux, à l'instar de son épouse Régina, c'est dans le hockey mineur, avec les Pee-Wee, qu'il a laissé sa marque. Son type de médecine familiale ne lui a pas survécu.

St-Hilaire, Jean-Louis Dr., 23-07.jpg
Expo 1998 - Film 23
Carton Noir B5 -09
Dr. Jean-Louis St-Hilaire, décès, 22 mars 1984, CL-PER-031.JPG
Deces du Dr. Jean-Louis St-Hilaire, 1984, LB10-P46.JPG
Classeur - PER
LB G.-P N.
Dr. Jean-Louis St-Hilaire, décès, 22 mars 1984, CL-PER-032.JPG Classeur - PER
Dr. Jean-Louis St-Hilaire, décès, 22 mars 1984, CL-PER-033.JPG

Décès Dr. Jean-Louis St-Hilaire. J3-1984-03-27. p.C-2.jpg
Classeur - PER
Journal
Dentiste Marc St-Hilaire - 08-013.jpg Carrousel 8


Gaulin Évangéliste, 1930- 55 ans, 49-01.jpg
Gaulin Évangéliste, 1930 - 55 ans, 49-02.jpg
Expo 1998 - Film 49
Evangeliste Gaulin et violon, 7-24.jpg Expo 1998 - Film 7
Évangéliste Gaulin. Un typique de notre communauté. Né le 30 décembre 1875 à St-Malachie, il arrive à Princeville en 1915 et s'installe le long de la route 263 près de la rivière Blanche (aujourd'hui Raoul Paquet). Afin de donner de l'ouvrage à ses garçons, il démarre une briqueterie en 1930, et ses fils deviendront briqueteurs. C'est en 1952 qu'il déménage au village. Il décède le 28 janvier 1969 à l'âge de 93 ans. Homme jovial, bon raconteur et bon violoneux. Il restera longtemps dans la mémoire collective. Marcel Poudrier (photographe) avait gagné un concours dans une revue de photographie avec cette photo.

Evangéliste Gaulin, B5-CN-005.JPG
Carton Noir B5 -19
M. Gaulin reçoit la visite des 2 garçons de G.P. Nadeau qui demeurent près de chez lui, rue St-Jean-Baptiste nord, près de Racine. Guy-Alain Nadeau et Luc-André Nadeau.

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Carrousel 11
LB G.-P N., #07-P55
Gaulin, Évangéliste - 1960 - 11-002.jpg Carrousel 11
Évangéliste Gaulin, 05-FGN-048, CA-00002.JPG Livre 05-FGN-048
Evangeliste Gaulin, Don de Gerald Godbout.JPG LB G.-P N.


Cet article provient du journal l'Union des Cantons de l'est publié le 30 octobre 1958. On y parle de l'hôtel de ville et du bureau de poste. Président de la ligue du Sacré-Coeur, conseiller pendant 2 mandats. Il arriva en 1926 et tint un commerce général jusqu'en 1955.

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J.Arthur Morrissette, LB08-P63_3.JPG
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LB G.-P N.
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J.Arthur Morrissette, biographie, LB42-P17.JPG
LB G.-P N.
MORRISSETTE, J: Arthur (1889-1989)

Auteur de Contes et récits des Bois-Francs, publié en 1973, J.-Arthur Morrissette était marchand général à Princeville au cours de la première moitié du présent siècle. Son labeur d'« écrivailleur », comme il disait, débute au moment de sa retraite alors que lui vient l'idée de griffonner ses souvenirs. II écrivit ainsi jusqu'au début des années 1980. Nombre de ses textes ont été publiés dans divers journaux dont les hebdomadaires locaux et quelques quotidiens comme le journal Le Soleil le 22 décembre 1981.
Livre du 150e, p.312 Livre 150 iem
J.Arthur Morrissette, LB08-P69.JPG LB G.-P N.
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LB G.-P N.
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J.Arthur Morrissette, 1995-1996, LB20-P149 (1).JPG
LB G.-P N.


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Lionel Baril, Visage du siècle, ET-FBB-024-p7 (d).JPG

Biographie de Lionel Baril, Livre 150e, p.165
Enveloppe 16-FBB-068
C'est cet homme qui est à l'origine du développement industriel de Princeville. Il a été maire, président de la Commission scolaire, président de la fanfare, bienfaiteur de l'église, du foyer St-Eusèbe, etc... En affaires il a fait partie de Princeville Furniture, Lafontaine Furniture, L.B. Furniture, Princeville Hosiery Mills, Tricots Princess, L.B. Sports-wear, et bien d'autres. Il a été un généreux donateur aussi.

Lionel Baril (prés. commis. scolaire), CL-PER-045.JPG
Classeur - PER
LB G.-P N., #05-P11
BARIL, Lionel (1907-1985) Lionel Baril peut, à juste titre, être considéré comme le père de l'industrialisation de Princeville. Certes, en 1938, lorsqu'il se porte acquéreur avec Émile Bélanger de la Stanfold Chairs, il n'est pas le premier promoteur venu.

Mais c'est toutefois sous son influence et par son dynamisme que le nombre d'industries va considérablement augmenter à partir de cette date. Avisé, curieux, efficace, il lancera lui même près d'une dizaine d'entreprises en plus de collaborer à la mise sur pied de plusieurs autres. Maire de la municipalité, président de la commission scolaire, commissaire industriel, il n'y a rien qu'il n'ait fait. L'actuel boulevard Baril lui doit son nom.
Livre du 150e, p.309 Livre 150 iem
Lionel Baril et son epouse à Rome et pape Paul VI, Livre 150 iem p.309.jpg Livre 150e
Lionel Baril, Chevalier de l'ordre St-Sylvestre, LB05-P46_2.JPG LB G.-P N.
Lionel Baril, chevalier de l'ordre St-Sylvestre, LB42-P15.JPG LB G.-P N.
Lionel Baril, ET-FBB-015.JPG Enveloppe 16-FBB-067
Lionel Baril, LB26-P52.JPG LB G.-P N.
Lionel Baril, biographie, 15-FBB-006, P.31.JPG
Livre 15-FBB-006
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Livre 15-FBB-006
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Livre 15-FBB-006
Lionel Baril, commerce, 15-FBB-006, P.36.JPG
Livre 15-FBB-006
Sarto Baril, Livre 150 iem p.309.jpg Livre 150e
BARIL, Sarto (1920-1970)

Le nom de Sarto Baril restera à jamais associé à celui des bateaux de plaisance « Princecraft “ que l'on retrouve aujourd'hui à la grandeur du Canada, aux États-Unis et en Europe.

C'est en 1954, avec un capital de 10 000 $ avancé par son frère Lionel, que Sarto Baril lance une entreprise plutôt singulière à l'époque, et ce tant à Princeville que dans le reste du Québec : Aluminum Boats and Canoes, spécialisée dans la fabrication d'embarcations de plaisance en aluminium. Cette dernière fut longtemps l'un des fleurons du parc industriel de Princeville. Aujourd'hui encore, après avoir traversé quelques périodes de crise, son dynamisme la distingue.
Livre du 150e, p.309 Livre 150 iem
Sarto Baril, LB07-P150.JPG LB G.-P N.
Mme F.X. Lacroix (Mathilda Cloutier), laissant les Fermières (vers 85 ans) et Mme Joseph Trépanier

Lacroix F.-X. Mme, 40-23.jpg
Expo 1998 - Film 40
Robert Boucher, CL-PER-015.JPG Classeur - PER
Robert Boucher, hommage, CL-PER-016.JPG Classeur - PER
Arthur Boucher, LB05-P23_0.JPG
Arthur Boucher, LB05-P23_1.JPG
LB G.-P N.
Arthur Boucher, LB10-P111.JPG LB G.-P N.
Arthur Boucher, dir. funeraille, CL-PER-001.JPG Classeur - PER
Deces de Arthur Boucher, LB10-P110.JPG LB G.-P N.
Rodrigue "Rod" Gilbert. Le seul Princevillois à jouer dans la ligue Nationale de Hockey. Fils de Gabriel Gilbert (forgeron) et de Alma Bisson, il est né à Princeville le 1er juillet 1941. Ses parrains et marraines sont M. et Mme Antonio Levasseur. Au stage junior, il subit un grave accident au dos qui nécessita des opérations à la colonne vertébrale. Il revint en force, gradua avec les Rangers de New-York avec lesquels il évolua pendant 18 ans (1960-1978). Il détient 23 records d'équipe. Durant sa carrière, il a joué 1065 parties, compté 406 buts et 615 passes pour un total de 1021 points. Il a été puni pour 508 minutes. Il a été admis au temple de la renommée du hockey en 1982. 5'10", 180 lbs, ailier droit, dernier club amateur : Royals de Guelph. Joue sur même ligne que Jean Ratelle & Vic Hatfield

Gilbert Rod & Frères en hockey, 13-19.jpg
Gilbert Rod & Frères en hockey, 13-18.jpg
Expo 1998 - Film 13
Carton Noir B5 -05
Gabriel Gilbert (forgeron), Alma Bisson. Marguerite Gilbert.

Rodrigue Gilbert, LB30-P107.JPG
LB G.-P N.
Le frère Paul de la Sablonnière, J3-1996-01-17, P.2.JPG

Frere Paul de la Sablonniere, LB32-P37.JPG
Journal
LB G.-P N.
Le frère Paul de la Sablonnière, J3-1996-01-17, P.2 (SUITE).JPG
Journal
Paul de La Sablonnière, Visage du siècle, ET-FBB-024-p18.JPG
Paul de La Sablonnière, Visage du siècle, ET-FBB-024-p18 (d).JPG
Enveloppe 16-FBB-068


Georges Bechard, LB08-P186.JPG LB G.-P N.
Georges Bechard, en 1979, LB08-P186_1.JPG LB G.-P N.
Georges Bechard, LB08-P184.jpg LB G.-P N.
Georges Bechard, LB08-P185.JPG LB G.-P N.
Georges Bechard, LB08-P185_1.JPG LB G.-P N.
On retrouve ce même article dans le scrapbook 1 de Mme Tousignant.

Georges Bechard, LB08-P187.JPG
LB G.-P N.
Hommage a Georges A. Bechard, LB26-P127.JPG
Georges Bechard, LB08-P188.JPG
LB G.-P N.
Georges Béchard , journaliste.jpg
Livre 32-FMT-001


Georges-P. Nadeau , 1926-1998. Avant de passer du côté de l'histoire, tu as tenu vivant le quotidien de notre passé collectif ; la "petite histoire". Notre futur te sera reconnaissant d'avoir gardé allumé le feu des passionnés. Georges la flamme ne s'éteindra pas. Le comité de l'expo-photos. Georges a été le "ramasseux", sinon le conservateur, d'informations et de photos diverses sur Princeville. Il a remis sa collection à la municipalité en 1995. On peut trouver l'histoire de Georges-P. dans la page les familles.

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Disque patrimoine
Carton Noir B5 -23
Georges P. Nadeau, 1994, LB17-P55.JPG LB G.-P N.
Georges Philias Nadeau (junior) est né le 4 septembre 1926 de Roméo Nadeau et Simonne Nadeau. Il portait les mêmes prénoms que son grand-père paternel. Marié à Lèola Levasseur le 2 juillet 1956. Le couple a eu 4 enfants : Luc-André, Guy-Alain, Diane et Suzanne. Georges a occupé plusieurs fonctions au cours de sa vie : commis de bureau à la coopérative fédérée à Princeville, préposé à la comptabilité chez Forano à Plessisville, assistant-régistrateur à la cour d'Arthabaska, courtier en assurances générales et employé au ministère des postes. Il est décédé le 26 mars 1998 à Princeville, et ses obsèques ont eu lieu le 30 mars.

Georges P. Nadeau, 1997, LB21-P0A.JPG
LB G.-P N.
Cartable 05-FGN-048
NADEAU, Georges Philias (2e du nom) (1926-1998)

Georges Philias Nadeau entrera dans l'histoire de Princeville pour avoir été le « ramasseux », sinon le conservateur, d'informations et de photos diverses sur Princeville. Toute sa vie durant, il a pris plaisir à amasser tout ce qui lui tombait sous la main et qui était susceptible de témoigner de l'histoire municipale. II a ainsi préservé d'un éparpillement certain des dizaines et des dizaines de photos remises à la municipalité en 1995 avec divers autres docu-ments.
Livre du 150e, p.312 ET 313 Livre 150 iem
Georges P. Nadeau, collectionneur, LB11-P128.JPG LB G.-P N.
Georges P. Nadeau, LB09-P97.JPG LB G.-P N.
Frère Bruno Légaré. Le frère Bruno Légaré de la Congrégation des Frères du Sacré-Cœur, un fils de la paroisse, recevant la médaille de Chancelier et Compagnon Principal de l'Ordre du Canada le 17 novembre 1988 des mains de la gouverneur général du Canada, Mme Jeanne Sauvé. Le Frère Légaré est missionnaire depuis de nombreuses années.

Légaré Bruno, chancelier et compagnon principal de l’Ordre du Canada 17-11-1988, 19-07.JPG
Expo 1998 - Film 19
Album brun 98 - PER
Frere Bruno Legare, 1993, LB15-P171.JPG LB G.-P N.
Pelletier Laurent, remise de médaille, 31-13.jpg Expo 1998 - Film 31
Laurent Pelletier, recu par la Lieutenant-Gouverneur (1).jpg Disque patrimoine
Laurent Pelletier, recu par la Lieutenant-Gouverneur (2).jpg Disque patrimoine
Laurent Pelletier, recu par la Lieutenant-Gouverneur (3).jpg Disque patrimoine
Laurent Pelletier, recu par la Lieutenant-Gouverneur (4).jpg Disque patrimoine
Laurent Pelletier, recu par la Lieutenant-Gouverneur.jpg Disque patrimoine
Est-ce une personne de Princeville ? (q?)

Une citoyenne à l'honneur.jpg
Disque patrimoine
Gervaise Bellavance-Marcoux recevant medaille.jpg Disque patrimoine
Roger et Gervaise Bellavance, 1995, LB19-P106.JPG LB G.-P N.
Roger Bellavance recevant medaille.jpg Disque patrimoine
Les sacristains Bilodeau et Daigle. De tous les sacristains et bedeaux de Princeville, Hervé Bilodeau est celui qui est resté en fonction le plus longtemps soit 40 ans, bien sonnées. Quand à Léo Daigle, l'actuel sacristain (en 1998) il cumule déjà 10 ans à l'emploi de la fabrique.

Sacristains Bilodeau & Daigle 15-04-1998, 27-16.jpg
Expo 1998 - Film 27
Album brun 98 - PAR
Feuillet paroissial, 1969-02-02, sacristain Hervé Bilodeau.jpg
Feuillet paroissial
Feuillet paroissial, 1969-03-02, Hervé Bilodeau (sacristain).jpg
Feuillet paroissial
Baril, Jacques 1989 - 11-006.jpg Carrousel 11
Jacques Baril, visage d'un siècle.jpg
Livre 32-FMT-001
Jacques Baril, député, CL-HOT-019.JPG
Jacques Baril, 1976, LB08-P153.JPG
Classeur - HOT
LB G.-P N.
Jacques Baril, déces de Nicole Baril, 1995, LB19-P126.JPG LB G.-P N.
Marcel Poudrier. Marcel a copié avec patience plus de 600 photos afin de construire les 'archives' de l'exposition. Il a également compilé de nombreuses heures de recherche afin de pouvoir composer chacun des textes accompagnant les photos. Marcel est décédé le 9 novembre 2011.

Système de copie pour expo-photos, 24-09.jpg
Système de copie pour expo-photos, 24-08.jpg
Expo 1998 - Film 24
Carton Noir B2 -28


Regina St-Hilaire, mairesse, CL-HOT-015.JPG Classeur - HOT
CÔTÉ SAINT HILAIRE, Regina (1922- )

Mme Regina Côté Saint-Hilaire entrera dans l'histoire de Princeville pour y avoir été la première femme à accéder à la mairie 2, le 6 novembre 1979. Elle fut en outre directement associée à l'établissement de l'hôpital Saint-Hilaire qu'elle administra et mit sur pied avec son conjoint de toujours, le docteur Jean-Louis Saint-Hilaire.

Enfin, Mme Côté Saint-Hilaire est l'auteure de Mémoires et défis où elle raconte ses cinquante années d'engagement à Princeville. Tout comme le livre de Richard Lassonde, celui de Mme Côté est un incontournable pour celui ou celle qui s'intéresse à l'histoire de cette petite communauté.
Livre du 150e, p.311 Livre 150 iem
Régina Coté St-Hilaire, LB09-P80.JPG LB G.-P N.
Régina Coté St-Hilaire, LB09-P83.JPG LB G.-P N.
Régina Coté St-Hilaire, LB09-P84.JPG LB G.-P N.
Regina et son autobiographie, LB32-P160.JPG LB G.-P N.
Régina St-Hilaire et ses mémoires, LB32-P108.JPG LB G.-P N.
Régina St-Hilaire et son livre, LB32-P109.JPG LB G.-P N.
Régina St-Hilaire et son livre, LB32-P122.JPG LB G.-P N.
Régina St-Hilaire, 1997, LB21-P104.JPG LB G.-P N.
Regina St-Hialire, 1997, LB21-P119.JPG
Régina St-Hilaire, 1997, LB21-P119.JPG
LB G.-P N.
A reçu la médaille commémorative du 125iem de la confédération du Canada, en reconnaissance de sa contribution au bien-être de ses compatriotes et sa communauté.

Georges-Édouard Carignan fils de Georges Carignan.JPG
Disque patrimoine

Jacinthe Larivière

Jacinthe Larriviere
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Disque patrimoine
Jacinthe Larivière
Photo supplémentaire
Disque patrimoine


Mise à jour le 25 JANV. 2022.