Patrimoine immobilier


Église Écoles Gare, train et chemin de fer Garage Municipal (voirie)
Presbytère Bibliothèque Bureau de poste Salle Pierre-Prince et Café Mondelet
Hôtel de ville et conseil Salle Chevaliers de Colomb Le Fenil Tourisme Centre-Québec
Couvent Barrage Girouard Ponts Résidence pour personnes âgées
Cimetière *** Divers ***
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Tour de Télécommunication Corps de police Gaz Naturel Centrale Téléphone
Service d'eau Station d'épuration Poste d'incendie (pompiers) Électricité
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Terrain de balle Terrain de tennis Aréna (Centre sportif Paul de La Sablonnière) Centre Aquatique
Piste Cyclable Boulodrome Parc Multi-sports

Hôtel de ville


1-001 Hôtel de ville, 1950, avant 1950 Carrousel-1
1-024 Hôtel de ville, 1964, Facade Carrousel-1
1-036 Hôtel de ville, 1988, paroisse Carrousel-1
MOSAIQUE Hotel de ville.jpg
Photo supplémentaire Hôtel de ville
Disque patrimoine

Le Fenil (alias plage municipal)

Le Fenil

Le Fenil était le nom que l'on donnait à la plage municipale de Princeville en activité de 1967 jusqu'au début des années 1980. En tant que telle, il s'agissait d'une grange plutôt singulière située près d'un lac, à la sortie nord de la ville. La municipalité, après une forte opposition au projet, avait acquis le terrain par annexion (règlement n° 247, 20 juillet 1967). Le conseil désirait y aménager les abords du lac existant et en creuser un second devant servir de plage municipale.

À une certaine époque, on a vu plus de 300 enfants s'y baigner sous la surveillance des moniteurs de terrains de jeux. La qualité de l'eau faisant défaut, la plage a finalement perdu de son intérêt après 1980 et fut fermée. Quant au Fenil, on procéda à sa démolition à la suite d'une décision du conseil prise le 4 octobre 1983. Entretemps, Aluminum Boats & Canoes et la municipalité de paroisse s'en étaient servis à titre de lieu d'entreposage.
Livre du 150e, p.121 Livre 150 iem
Photo en 1940. Nous recherchons une photo à l'intérieur avec les animaux. (svp)

Ferme experimentale,Le fenil, CL-AGR-030.jpg
Classeur - AGR
Le fenil à l'époque d'Achille Grégoire, le père de Gérard Grégoire. Il faut se souvenir que cette bâtisse avait été construite par le gouvernement fédéral pour une ferme expérimentale. Photo en 1946.

Ferme experimentale,Le Fenil, CL-AGR-035.jpg
Classeur - AGR
Livre 150 iem p.122
LB G.-P N., #05-P134
Poulailler de la ferme expérimentale.

Garage inconnu, CL-GAR-004.JPG
Classeur - GAR

Le journal présente un article sur l’ouverture de la plage municipale de Princeville pour la saison. On dit qu’il y a eu une forte affluence.
No. Identification : 21 867

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 101, no 32-33 (26 juillet 1967) : 45.


1967-07-26, P44-P45, plage municipale.jpg
Journal
"Le Fenil. C'est le nom que l'on a donné à cette grange près de laquelle on avait creusé un lac pour faire de l'ensemble une plage municipale en 1967 .Bâtisse construite par le gouvernement fédéral. Cette écurie originale devait faire partie d'une ferme expérimentale. Le terrain a d'abord été celui d'une ferme expérimentale opérée par l'abattoir coopératif de 1917 à 1920. Au début de sa carrière, Claude Dubois s'est déjà produit à l'intérieur du Fenil. La plage a été fermée au public au début des années 80."

Fenil, la grange, 4-07, CL-AGR-033.jpg
Expo 1998 - Film 4 et
Classeur - AGR
Livre 150 iem p.122
Carton Noir B2 -18
Classeur - LOI
Le Fenil,CL-LOI-028.JPG Classeur - LOI
On procéda à sa démolition à la suite d'une décision du conseil prise le 4 octobre 1983.

Ferme expérimentale 1959, 3-002.jpg
Ferme expérimentale et Fenil 1959 2-069.jpg
Carrousel 2 et 3
Livre 16-FRP-052
Plage Municipal vers 1965, CL-LOI-029.JPG Classeur - LOI
Le Fenil en 1979-1980 (Simon Côté, Daniel Lemieux, Denise Martin et ?) .

Fenil, et groupe.jpg
Disque patrimoine
Plage municipale Princeville, LB12-P29.JPG LB G.-P N.
Camping à Princeville, plage municipale.jpg
Livre 32-FMT-001


Tour de Télécommunication

Tour de transmission en 2008 (1).JPG Disque patrimoine
Tour de transmission en 2008 (2).JPG Disque patrimoine
Tour de transmission en 2008 (3).JPG Disque patrimoine

Gaz Naturel

Gas naturel, Rue St-Jean-Baptiste Nord -1992, 1-085 .jpg Carrousel 1
Livre 150 iem p.276
Classeur - MUN
Gas naturel, Rue St-Jean-Baptiste Sud -1992, 1-084 .jpg Carrousel 1
Classeur - MUN
Gas Naturel, Rue St-Jean-Baptiste Sud -1992, 1-086 .jpg Carrousel 1
Classeur - MUN
Gas naturel, Rue St-Jean-Baptiste Sud -1992, 1-087 .jpg Carrousel 1
Classeur - MUN
Classeur - CON
Arrivée du gaz naturel en 1993. Le gaz naturel nous arrive par le parc industriel pour ensuite ramifier dans la ville afin de desservir industries et institutions.

Gas naturel, Vue du parc Industriel -1992, 1-083 .jpg
Gaz naturel, arrivée à Princeville 1993, 28-23.jpg
Carrousel 1
Livre 150 iem p.276
Expo 1998 - Film 28
Album brun 98 - COM

Classeur - MUN

Divers

À Princeville, des soumissions sont demandées pour effectuer le service de cueillette des déchets domestiques. L'Union des Cantons de l'Est, vol. 91, no 40A (12 septembre 1957) : 14.

No d'identification : 19 960



Journal

Le dépotoir municipal de Princeville sera ouvert au public deux jours par semaine. Il y aura un gardien sur les lieux pour la surveillance. On dit qu'il y avait des abus, car les gens se rendaient n'importe quand sur les lieux et déversaient leurs déchets un peu partout sur le terrain.
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 95, no 39 (14 septembre 1961) : 14.

No. Identiciation : 20 426

Je me souviens etre allé porté des déchets avec mon père, et si ma mémoire est bonne, c'était pres de la ligne électrique entre Princeville et St-Louis de Blandford.


1961-09-14, p14-p15, dépotoir ouvert au public.jpg
Journal
Peut-être ce document devrait-il aller avec les commerces? (q?)

Club Cooperatif de consommation, 1994, LB17-P72.JPG
LB G.-P N.
Dépotoir dans le 6iem rang, avant la ligne hydro-électrique. En 1967 il fallait encore aller porter soi-même ses ordures.

Le fantome de Princeville, 1960 (0).jpg

Textes supplémentaires, Livre 150e, page 115 à 117
Journal
Récupération.

CL-MUN-014.JPG
Classeur - MUN
20080513_001.JPG Disque patrimoine
Recuperation Bois-Francs, LB22-P12.JPG

Textes supplémentaires, Livre 150e, page 116 à 117
LB G.-P N.
Récupération Bois-Francs, LB22-P12.JPG LB G.-P N.


SOS recyclage, sur la 263 nord, S.O.S, DON-JP-165..JPG
Disque patrimoine
Bac de récupération fait son apparition en 1996, DON-JP-178.jpg Disque patrimoine
Rond de fleur emplacement de la Banque, 1960, 3-039.jpg Carrousel 3
Croix Gérard Guérard - 10-090.jpg Carrousel 10
La circonférence était de 11 pieds 8 pouces à hauteur d'épaule en 2008.

Orme majestueux, CL-MUN-003.JPG
Classeur - MUN
Orme majestueux, CL-MUN-004.JPG Classeur - MUN

Électricité

P.271 L'ÉLECTRICITÉ

L'électricité fait son apparition en Angleterre en 1831 quand on invente la première génératrice. Vingt ans plus tard, soit en 1854, c'est l'ampoule électrique qui « voit » le jour. L'électrification au Québec s'enclenche, quant à elle, à Montréal, en 1878. Plus près de nous, Victoriaville bénéficiera du service à compter de 1897, alors qu'il faudra près de dix années de plus avant que des municipalités telles que Saint­Ferdinand (1905) et Saint-Norbert (1906) en profitent. En 1935, à peu près tous les villages de la région sont électri­fiés. Ce n'est pas le cas des municipalités rurales, du reste une situation généralisée à la grandeur du Québec. Par ailleurs, nombreux sont ceux, Philippe Hamel en tête, qui commencent à dénoncer le monopole de l'électricité qui nuit au développe­ment; ceux-là réclament que le gouvernement prenne les choses en main'. Un premier pas en ce sens sera franchi par les libéraux en 1944, lorsque le gouvernement étatise la « Montréal Light, Heat and Power “ et crée la Commission hydroélectrique de Québec qui n'est autre chose que l'origine d'Hydro-Québec. La nationalisation de l'électricité intervien­dra pour sa part en 1963. À Princeville À Princeville, l'électrification débute en février 1900. À ce moment, le conseil du village autorise la “ Compagnie électrique de Plessisville “ à installer sur son territoire un réseau de distribution : Considérant que la Cie Électrique de Plessisville offre de continuer son courant électrique jusque dans la municipalité et de fournir la lumière électrique à tous les contribuables de cette municipalité qui le voudront bien [...] Considérant qu'il est de l'intérêt de cette corporation municipale et de l'intérêt de tous les contribuables de cette municipalité que la lumière électrique soit passée dans ce village [...] Qu'il soit résolu que la susdite Cie Électrique de Plessisville soit exemptée de taxes municipales (avec droits exclusifs) pour une période de 25 ans (PVM, 17 février 1900). La Compagnie électrique de Plessisville La Compagnie électrique de Plessisville était en fait une toute nouvelle entreprise mise sur pied par un groupe de promo­teurs. Au nombre de ceux-ci, on retrouvait : Napoléon-Charles Cormier, marchand de Plessisville et conseiller législatif, Francis Hurtubise, gérant de la fonderie de Plessisville, Florence Deguise, notaire et, enfin, Achille Gagnon qui avait, en 1897, construit la première centrale de Victoriaville.

P.272 Pour alimenter son réseau, la Compagnie électrique disposait d'une turbine de 24 000 livres et d'une dynamo de 175 chevaux-vapeur. 25 lumières de 32 lumens Au moment d'accepter l'offre de la compagnie, en février 1900, le conseil consentait en fait à l'installation de 25 « lumières » de 32 lumens chacune dans le village. C'est le maire qui décida de leur emplacement. Incidemment, le con­trat stipulait que l'une des lampes devait être installée devant la maison du magistrat. Après un an, les élus voulurent interrompre le service : on trou­vait que celui-ci était trop dispendieux. Sauf que la population exigea qu'on le maintienne. Le conseil ne s'y opposa pas. II n'en exigea pas moins le gel des coûts annuels à 8 $ par lumière. En outre, la compagnie devait accepter de déplacer, sans frais, certaines lampes. À cet effet, justement, il faut savoir que la lampe du maire changeait de place chaque fois que changeait le maire : Que le secrétaire-trésorier soit autorisé d'écrire à la compagnie électrique de Plessisville la priant de bien vouloir mettre une lumière à la porte de la résidence du maire suivant la promesse verbale faite par M. Poudrier et M. Houle (PVM, village, 2 février 1914). Des fournisseurs différents En 1912, l'entente est renouvelée avec Philippe Poudrier qui, de toute évidence, a repris l'entreprise. Les conditions seront alors modifiées comme elles le seront également en 1918. En 1929, on transige avec la Saint-François Light & Power, dont l'usine génératrice est à Shawinigan. L'année d'après, soit en 1930, les divers distributeurs de la Shawinigan Water & Power se regroupent et forment la division sud de la Compagnie Shawinigan. C'est à ce moment que la Shawinigan demande l'autorisation de construire - une ligne de transmission entre Princeville et Saint-Norbert », ce qui sera autorisé. L'électrification rurale tarde il est difficile de situer la date exacte à laquelle l'ensemble des contribuables de la paroisse ont été desservis. On sait seule­ment que l'implantation du réseau s'est étalée sur plusieurs années à partir de 1935 et, surtout, à partir de 1945, année où le gouvernement Duplessis crée l'Office de l'électrification rurale. Selon ce qu'on a pu constater, le 7e rang Ouest aurait été parmi les derniers électrifiés (PVM, 26 mai 1950). 11 faut attendre la fin des années 1950 avant que tous soient branchés Au début des années 1950, même si le réseau sillonne l'ensemble du territoire, nombre de foyers, tant au village que dans la paroisse, ne bénéficient toujours pas de l'électricité. Ainsi, l'Inventaire économique et industriel de 1956 fait état de 237 abonnés dans la paroisse pour 262 familles. Au village, on parle de 641 abonnés pour 568 familles et près de 100 commerces et entreprises. C'est dire que dans un cas comme dans l'autre tous les foyers ne sont pas encore raccordés. En réalité, il faut attendre la fin des années 1950 avant de pou­voir conclure que tous, désormais, bénéficient de l'électricité. En 1959, en effet, on dénombre 1009 abonnés pour un total de 802 familles et une centaine d'entreprises. Les travaux de branchement Voici, d'après le récit de M. Richard Lassonde dans Jusqu'à la Rochelière, à quoi pouvait ressembler une installation à l'époque : Les travaux d'installation et de branchement avaient duré trois jours chez-nous et avaient coûté en tout, temps et matériel compris, 120 $ [...]. Nous avions dans la maison six lumières dont une dans la cave, une à l'extérieur [...], et une dans le fournil. À l'étable, nous en avions cinq z.

P.273 Les premières dépenses d'éclairage de la paroisse La municipalité de paroisse commença à assumer des coûts à partir de 1960 quand le conseil décide d'éclairer certaines intersections de rangs. Princeville propriétaire de son réseau d'éclairage En 1993, Princeville acquérait le système d'éclairage de rues de son territoire. Ce faisant, la Ville répondait, comme nombre de municipalités au Québec, à une offre d'Hydro-Québec intéressée à se défaire de cette partie de ses immobilisations. Dernier détail Avant de conclure sur le service d'électricité, il peut être intéressant d'apprendre qu'à une certaine époque, pas si lointaine d'ailleurs, on diminuait l'éclairage des rues de 2 heures à 4 heures du matin. En 1944 cependant, après que plusieurs contribuables se soient plaints au conseil, le service régulier fut rétabli.
Livre 150e p.271 a 273

Livre 150 iem
Le village (?) sera éclairé à la lumière électrique . Achille Gagnon, d'Arthabaskaville, vient de former une compagnie. Les opérations s'étendront jusqu'à Plessisville, avec la permission des conseillers de Stanfold et de Princeville. On pourra faire passer les poteaux sur la ligne, à condition que la lumière soit fournie d'ici un an. No d'identification : 21 994
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 34, no 11 (02 mars 1900) : 3


Journal
Résolution du conseil municipal de Somerset-Sud. La Compagnie d'Électricité de Plessisville propose de continuer son réseau de distribution jusqu'à Princeville pour desservir cette localité. Cela entraînera des coûts importants, mais demeure dans l'intérêt des citoyens. On adopte une exemption de taxes de 25 ans pour la compagnie. Raisons données de cet arrangement. No d'identification : 108

Le Mégantic, vol. 1, no 13 (10 mars 1900) : 2.


le Mégantic 10 mars 1900, électricité.jpg
Journal
Récupéré cet article *_** (voir fichier PDF) La Compagnie Électrique de Plessisville poursuit ses travaux. Les poteaux (dimensions données) sont installés : détails sur les travaux d'installation et les ouvriers. On continuera l'installation vers Stanfold. Arrivées de pièces d'équipement (dynamo, turbine) : détails sur ces instruments. Construction du local de la compagnie : détails sur la construction. Informations sur le lieu d'installation d'une écluse. Centrale hydraulique et à vapeur : informations sur le fonctionnement et les économies. Prévision d'un moulin à scie construit sur la même chute par la compagnie.

La Compagnie électrique a acheté de M. Rheault de Stanfold, près de 800 poteaux. Une vingtaine d'hommes sont employés à leur installation. Le contremaître, M. Vincent Jutras de Victoriaville. Les travaux débutent dans le village pour se poursuivre vers Stanfold. La Compagnie vient également d'acheter une dynamo de 2575$, de 24 600 livres et de 175 chevaux-vapeur. Elle a aussi fait l'acquisition d'une turbine de 24 000 livres. Des travaux d'agrandissement du local de la Compagnie sont en cours. Aussitôt que les eaux seront basses, la Compagnie débutera la construction d'une écluse, près du pont de la tannerie. On espère atteindre une chute de 14 pieds. Pour y arriver, il faudra creuser le lit de la rivière. «La Compagnie espère que ce pouvoir d'eau sera suffisant pour alimenter l'usine pendant 4 mois de l'année». On prévoit aussi la construction par la Compagnie du côté de son usine, d’un moulin à scie, mû par les mêmes pouvoirs.
No d'identification : 176

Le Mégantic, vol. 1, no 22 (12 mai 1900) : 2.


Journal
À Plessisville, plusieurs hommes posent les poteaux pour la lumière électrique dans les rues du village et de Stanfold. No d'identification : 26 344

L'Écho des Bois-Francs, vol. 6, no 50 (12 mai 1900) : 3.


1900-05-12, p.2-3, lumière électrique.jpg
Journal
Les abonnés de Stanfold recevront l'électricité aux environs du 19 août. No d'identification : 248
Le Mégantic, vol. 1, no 35 (11 août 1900) : 3.


Journal
La lumière électrique a été posée dans quelques maisons de notables de Stanfold et dans un hôtel, mercredi. Un essai n'a pas fonctionné, car il semble que le courant transmis par l'usine de Somerset était trop puissant. No d'identification : 22 177
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 34, no 39 (14 septembre 1900) : 3.


1900-09-14 p2-p3, lumière électrique au presbytère.jpg
Journal
La lumière électrique éclaire les maisons et les rues de Stanfold depuis quelques jours. Les résidents de Stanfold qui veulent faire installer l'électricité devraient prendre rapidement des engagements avec la Compagnie, car les techniciens de celle-ci vont bientôt revenir à Plessisville où de nombreuses demandes d'installations électriques sont déjà enregistrées. No d'identification : 300
Le Mégantic, vol. 1, no 40 (15 septembre 1900) : 2.


Journal
Mercredi soir à Stanfold, la résidence de l'abbé C.F. Baillargeon a été éclairée à la lumière électrique. De nombreux citoyens sont venus voir l'illumination, et la fanfare de Princeville est venue lui donner une sérénade pour l'occasion. Deux autres magasins illuminés le même soir. - Liste des autres résidences éclairées à l'électricité (34, 41, p. 3). No d'identification : 22 182
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 34, no 40 (21 septembre 1900) : 3 (suite: 34, 41, p. 3).


1900-09-21 p2-p3, lumière électrique chez abbé Baillargeon.jpg
Journal
Plusieurs maisons ont la lumière.

No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (21 sept. 1900) : 2-3


1900-09-21 p2-p3, lumière électrique.jpg
Journal
Court article sur la satisfaction des citoyens de Princeville qui sont éclairés à la lumière électrique. Avantages de ce mode d'éclairage sur le pétrole. No d'identification : 22 191
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 34, no 41 (28 septembre 1900) : 3.


1900-09-28 p2-p3, lumière électrique_1.jpg
1900-09-28 p2-p3, lumière électrique_2.jpg
Journal
La Compagnie électrique de Plessisville a inauguré sa lumière électrique à Stanfold. Le conseil doit se réunir bientôt pour se décider à faire installer la lumière dans les rues du village. No d'identification : 22 199

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 34, no 42 (05 octobre 1900) : 3.


Journal
No d'identification : ???

L'Union des Cantons de l'Est, (7 dec. 1900) : 2-3


1900-12-07 p2-p3, lumière électrique.jpg
Journal

Les rues de Princeville seront bientôt dotées d'un nouvel éclairage. Les lampes de 1 000 lumens seront changées pour des lampes de 4 000 ou de 6 000 lumens dans les rues Saint-Louis, Saint-Jacques, Saint-Jean-Baptiste et Saint-François-Xavier
No d'identification : 19 957

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 91, no 40A (12 septembre 1957) : 14.


1957-09-12, p14-p15, éclairage de rues.jpg
Journal

La municipalité de la section rurale de Princeville installera un nouveau système pour éclairer les extrémités des rues de la ville.
No d'identification : 20 499

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 93, no 43 (15 octobre 1959) : 24.


1959-10-15, p24-p25, éclairage de rue.jpg
Journal
Bvld. Baril maintenant
L'Union des Cantons de l'Est, (27 dec. 1962) : 2-3


1962-12-27, p8-p9, éclairage Bvld. Lavergne.jpg
Journal
Pour une histoire de l'arrivée de l'électricité raconté par Richard Lassonde aller voir au page 133 à 134.

Livre de Richard Lassonde, 'Jusqu'a la Rocheliere'

Réjean Grondin devant la station électrique à l'entrée sud de Princeville, don de Hélène Bazin.JPG
Disque patrimoine
C'est une réalité depuis quelques années, les véhicules électriques sont là.

Borne électrique pour auto électrique, DON-JP-198.JPG
Disque patrimoine

Garage Municipal (voirie)

Concernant le chemin de Victoriaville et Stanfold.: Conducteur: A. Stein. Montant octroyé: 200$. Début du chemin: le bras de la rivière Nicolet (sur le chemin qui mène à la station du Grand Tronc, et va jusqu'à la Rivière du Loup. Il mesure donc 4,5 milles. «Il peut être fréquenté sur tout son parcours par les voitures d'été, excepté 14 arpents dans Victoriaville que Mr. Stein n'a fait qu'ouvrir. L'étendue terminée, cette année, est de 7 arpents qu'il a fallu fasciner partout. Pour compléter ce chemin sur toute sa longueur, il faudrait à peu près 500$». No d'identification : 9 223
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 3, no 49 (11 novembre 1869) : 3.


Journal
Mardi dernier, la Cour criminelle a condamné les Corporations des villages d’Arthabaska et de Victoriaville à une amende de 25 $ et celle de Saint-Norbert à 5,000 $ à cause des rues mal entretenues. Aujourd'hui, ce sont les Corporations de Saint-Louis de Blandford et de Stanfold qui devront se défendre des mêmes accusations. Le Journal d'Arthabaska mentionne que les « municipalités sont trop pauvres pour payer de pareilles sommes au gouvernement sans en souffrir ». No d'identification : 6 791
Le Journal d'Arthabaska, vol. 1, no 21 (21 février 1878) : 4 (suite: 1, 22, p. 4).


Journal
«Le gouvernement fait travailler la route chez M. St-Cyr et celle qui monte à Saint-Norbert». L'auteur dit qu'il faut remercier le député Jospeh Ena Girouard pour ce qu'il fait pour le comté, et pour Stanfold en particulier. No d'identification : 13 421
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 25, no 29 (23 juillet 1891) : 2.


1891, 07-23 p2, route.jpg

Section voirie, livre 150e p. 73 à 87
Journal
«Les gens de Saint-Louis et ceux du bord du fleuve, venant par la route de Gentilly, sont obligés de passer par le grand chemin de Stanfold, pour se rendre au chef lieu du comté d'Arthabaskaville. Si le projet d'ouvrir et de terminer une route dans le canton de Bulstrode vient à avoir une heureuse issue, le trajet de Gentilly et de Saint-Louis à Sainte-Victoire et Arthabaska sera raccourci de plusieurs lieues. La route est presque terminée depuis la " coupe à Walker", jusqu'au troisième rang de Bulstrode. Il n'y a plus que trois milles à finir pour se rendre au passage d'eau de Laroche sur la rivière Bécancour. Le gouvernement a donné 125$ à Saint-Louis de Blandford pour ouvrir cette route jusqu'au troisième rang à partie de la rivière». No d'identification : 13 503
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 25, no 39 (01 octobre 1891) : 2.


1891, 10-01 p2-p3, route.jpg
Journal
Honoré Jacques No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (5 novembre 1896) : 2.


1896-11-05 p2-p3, trottoir.jpg
Journal
La route entre Stanfold et Bulstrode, dans les 4ème et 5ème rangs, a été déclarée chemin local à la charge de la paroisse de Saint-Rosaire. No d'identification : 25 048
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 30, no 50 (10 décembre 1896) : 2.


Journal
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (3 juin 1898) : 2-3.


1898-06-03 p2-p3, cloture.jpg
Journal

Le conseil du village de Stanfold a fait des travaux considérables sur ses chemins. On cite quelques endroits où les trottoirs ont été refaits
No d'identification :22 175

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 34, no 38 (07 septembre 1900) : 3.


1900-09-07 p2-p3, travaux fait par la ville.jpg
Journal
La paroisse de Saint-Christophe a acheté une machine pour les chemins qui a permis de réparer trois milles de route en deux jours et demi. Octroi du gouvernement provincial. Stanfold s'en est aussi procuré une. No d'identification : 22 394

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 35, no 23 (07 juin 1901) : 2.


1901-06-07 p2-p3, machine pour chemin_1.jpg
1901-06-07 p2-p3, machine pour chemin_2.jpg
Journal

Une requête de contribuables de Saint-Christophe à propos d'une nouvelle route; loi des chemins croches à Saint-Louis de Blandford; annexion à Saint-Valère; ouverture de route entre Stanfold et Somerset. etc. Nombreux détails sur ces affaires.
No d'identification : 23 358

L'Union des Cantons de l'Est, vol. 39, no 26 (16 juin 1905) : 2.


1905-06-16 p2-p3, chemin de Stanfold.jpg
Journal
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (18 oct. 1917) : 2-3.


1917-10-18 p2-p3, chemin, résolution.jpg
Journal
« L'entretien des chemins d'hiver cette saison » Le gouvernement se chargera des routes 5 et 20 et donnera des octrois pour les autres routes. Cela concerne Victoriaville, Drummondville, Princeville, Arthabaska, Saint-Norbert, Sainte-Sophie, Daveluyville, Warwick, et Wotton. No d'identification : 17 946
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 85, no 3 (28 décembre 1950) : 1.


Journal
Les automobilistes peuvent circuler plus facilement depuis que l’on a procédé à l’allongement de cinq milles sur la route 5. Cet allongement part de Princeville et va en direction de Victoriaville. - Les travaux qui ont débuté l’an dernier ont coûté 300 000 $. No d'identification : 19 846
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 92, no 38 (11 septembre 1958) : 15.


Journal
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (30 juil. 1959) : 24-25.


1959-07-30,p24-p25, route Princeville et St-Louis-de-Blandford_1.jpg
1959-07-30,p24-p25, route Princeville et St-Louis-de-Blandford_2.jpg
Journal
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (17 sept. 1959) : 14-15.


1959-09-17, p14-p15, pavage route de Princeville.jpg
Journal
D’importants travaux de pavage sont en cours à Princeville. No d'identification : 20 309
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 94, no 43 (13 octobre 1960) : 14.


Journal
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (22 dec. 1960) : 70-71.


1960-12-22, p70-p71, surveillance des routes.jpg
Journal
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (15 juin 1961) : 14-15.


1961-06-15, p14-p15, divers travaux municipaux.jpg
Journal
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (18 oct. 1961) : 14-15.


1961-08-10, p14-p15, travaux de voirie.jpg
Journal
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (20 dec. 1962) : 22-23.


1962-12-20, p22-p23, sel de la voirie.jpg
Journal
Princeville effectuera pour 10 000 $ de travaux de voirie. No d'identification : 21 054
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 97, no 30 (11 juillet 1963) : 8.


Journal
Une équipe est au travail pour améliorer une section de la route menant de Princeville à Saint-Louis de Blandford. No d'identification : 21 086
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 97, no 36 (22 août 1963) : 14.


Journal
Des travaux de pavage seront entrepris au printemps dans plusieurs municipalités ( Warwick, Arthabaska, Saint-Norbert, Princeville, Victoriaville, Saint-Valère et Saint-Louis de Blanford). No d'identification : 21 149
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 98, no 7 (30 janvier 1964) : 3.


Journal
Plusieurs rues de Princeville seront bientôt asphaltées. No d'identification : 21 291
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 98, no 32-33 (29 juillet 1964) : 14.


Journal
Le journal publie le tracé de la nouvelle route numéro 5. Le tracé a été rendu public par le ministère provincial de la Voirie. Cette nouvelle route touchera les municipalités d’Arthabaska, de Princeville, de Warwick et de Victoriaville. - En page 2 de la même édition du journal, on publie la photo des maisons qui devront céder le pas à la nouvelle route. No d'identification : 21 334
L'Union des Cantons de l'Est, vol. 98, no 44 (14 octobre 1964) : 1-2.


Journal
No d'identification : ???
L'Union des Cantons de l'Est, (14 oct. 1964) :


1964-10-14, déneigement.jpg
Journal
Entretien des chemins l'hiver. Au début des années '40, c'est ce gros bélier mécanique qui ouvrait une bonne partie des chemins environnants de Princeville. Cette photo a été prise devant le restaurant de Georges Thibodeau, face à l'église. "Notre pont sur la rivière du Loup (entendre Bulstrode) est trop faible pour permettre le passage d'un tracteur de 12 tonnes... ce conseil est unanime à ne pas permettre l'ouverture de ladite route ... pour camions et autos pour la durée des chemins de neige. Photo prise par M. Georges Thibodeau devant son restaurant au début des années 1940.

Bulldozer en avant du resto, 9-03.jpg
Expo 1998 - Film 9 et
Livre 150 iem p.81
Carton Noir B2 -16
Nous cherchons une photo d'un rouleau à neige que Princeville aurait eu. (Livre 150e, p.69, 80,81,83)

Tracteur-chenille devant Restaurant Thibodeau 1930, 47-17.jpg
Expo 1998 - Film 47
Bulldozer devant restaurant Thibodeau.jpg Disque patrimoine
2 bulldozer devant restaurant Thibodeau.jpg Disque patrimoine
Annecdote sur l'entretien des chemins durant l'hiver, LB52.JPG
LB G.-P N.
Ce négatif est disponible à la société d'histoire de Plessisville

Asphaltage entre Princeville et Plessisville, 6-I-098 (1).JPG
Disque patrimoine
Ce négatif est disponible à la société d'histoire de Plessisville

Asphaltage entre Princeville et Plessisville, 6-I-098.JPG
Disque patrimoine
Princeville, garage municipal 06-07-2000, 45-18.jpg Expo 1998 - Film 45
Princeville, garage municipal 06-07-2000, 45-19.jpg Expo 1998 - Film 45
Princeville, garage municipal et bassin d’eau potable 06-07-2000, 45-20.jpg Expo 1998 - Film 45
Garage municipal, 1997 et equipement voirie, CL-HOT-062.JPG
Garage municipal, 1997 et equipement voirie.jpg

Textes supplémentaires, Livre 150e, page 73 à 87
Classeur - HOT
Livre 150 iem p.84
Derrière, le garage municipal à gauche, et l'aqueduc à droite (réservoir et pompes) . Devant l'équipe de soutien : Réjean Fortier, Yvon Lacourse, Jean-Guy Brochu, Bruno Vigneault, Yvan Bouffard, Jean-Pierre Perreault, Bruno Gagnon.

Garage municipal, 1997 et equipement voirie, CL-HOT-063.JPG
Garage municipal, 1997.jpg
Classeur - HOT
Livre 150 iem p.85
CL-MUN-015.JPG Classeur - MUN
L'Avenir de l'Érable, (8 aout 1999) : p.17

Voirie Travaux de reconstruction route 116 à quatre voies, J1-1999-08-08, p 17.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (22 aout 1999) : p.07

Voirie Travaux sur la 116 c'est reparti, J1-1999-08-22, p 07.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (16 oct. 1999) : p.23

Voirie travaux prolongés route 116 jusqu'au 29 octobre, J1-1999-10-16, p 23.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (6 nov. 1999) : p.06

Voirie Prolongement de la 116 à Princeville, J1-1999-11-06, p 06.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (14 mai 2000) : p.07

Voirie début élargissement de la 116 entre Princeville et Plessisville, J1-2000-05-14, p 07.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (13 aout 2000) : p.03

Voirie route 116 la circulation pertubée jusqu'au 25 septembre, J1-2000-08-13, p 03.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (13 aout 2000) : p.01

Voirie Travaux route 116 dans la contreverse, J1-2000-08-13, p 01.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (13 aout 2000) : p.01

Voirie Travaux route 116 dans la contreverse, J1-2000-08-13, p 01 suite.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (27 janvier 2002) : p.04

Voirie Ministère des transport termine élargissement de la 116, J1-2002-01-27, p 04.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (18 aout 2002) : p.03

Voirie chantier sur route 116 va lentement mais sûrement, J1-2002-08-18, p 03.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (25 aout 2002) : p.02

Voirie route 116 maisons affectées par les travaux, J1-2002-08-25, p 02 suite.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (25 aout 2002) : p.02

Voirie route 116 maisons affectées par les travaux, J1-2002-08-25, p 02.jpg
Journal
Employés Municipaux, Le petit Prince, 12 janv. 2003, CL-ORG-022_3.JPG Classeur - ORG
L'Avenir de l'Érable, (24 mars 2014) : p.21

Voirie plusieurs rues seront pavées, J1-2014-04-23, p 21.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (18 juin 2014) : p.16

Voirie Construction d'un pont avant les feux de circulation, J1-2014-06-18-10, p 16.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (9 juil. 2014) : p.05

Voirie MTQ installation de feux de circulation, J1-2014-07-09, p 05.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (26 juillet 2014) : p.01

Voirie installation de feux de circulation, J1-2014-07-26, p 01.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (29 oct. 2014) : p.10

Voirie installation nouveaux feu au Tim Hortons, J1-2014-10-29 p 10.jpg
Journal
L'Avenir de l'Érable, (24 dec. 2014) : p.07

Voirie Moins d'accident Tim Hortons, J1-2014-12-24, p 7.jpg
Journal

Salle Chevaliers de Colomb

Salle des Chevaliers de Colombs 1985 - 08-068.jpg Carrousel 8
Salle des Chevaliers de Colombs 1985 - 08-069.jpg Carrousel 8
Salle des Chevaliers de Colombs 1988 - 08-070.jpg Carrousel 8
Salle des Chevaliers de Colombs 1989 - 08-071.jpg Carrousel 8
Croix des Chevaliers de Colombs 1984 - 10-091.jpg Carrousel 10
Salle des chevaliers de Colombs en 2011.jpg Disque patrimoine
Salle des chevaliers de Colomb, CL-HOT-070.JPG Classeur - HOT

Barrage Girouard

Moulin Arthur Girouard. Vue d'ensemble du barrage et des bâtiments de ce moulin à bardeaux sur la rivière Bulstrode (Nicolet) . Vendu à Edmond en 1930. La maison appartient aujourd'hui (2011) à Jean-Paul Thibodeau .

Girouard Arthur, moulin 1920 vendu à Edmond 1930, 3-01.jpg
Expo 1998 - Film 3 et
Livre 150 iem p.194
Barrage Girouard, photo prise en 1953, LB12-P85.JPG LB G.-P N.
Barrage Girouard -1959, 1-089 .jpg Carrousel-1
Barrage Girouard -1959, 1-095 .jpg
Barrage Girouard -1959, 1-090 .jpg
Barrage Girouard -1959, 1-091 .jpg
Barrage Girouard -1959, 1-092 .jpg
Barrage Girouard -1959, 1-093 .jpg
Barrage Girouard -1959, 1-094 .jpg
Carrousel-1
Moulin à bardeaux et barrage Girouard sur la Bulstrode. Il a été démoli le 10 juin 1986. Le barrage existait en fonction du moulin Girouard sis à côté. Le moulin disparut vers 1960. Le barrage, acheté par la ville de Victoriaville pour contrôler le débit de l'eau , fut démoli en 1986, une fois le réservoir Beaudet réalisé.

Barrage Girouard -1959, 1-088 .jpg
Barrage Girouard (couleur), 4-06.jpg
Carrousel-1
Expo 1998 - Film 4
Carton Noir B5 -22
Classeur - IDI
Livre 16-FRP-052
Barrage Girouard et pont Duchesnay, LB08-P157.JPG LB G.-P N.
Fin du Barrage Girouard, CL-MUN-011.JPG Classeur - MUN
Barrage Girouard, démolition, 45-03.jpg Expo 1998 - Film 45 et
Livre 150 iem p.195
Classeur - MUN
Le barrage maintenant.

Le barrage a été construit pour approvisionner le moulin en énergie. Lorsque disparaît le moulin, le barrage perd son sens. C'est alors que resurgissent les problèmes qui en découlent, à commencer par le manque d'eau qu'il provoque en aval, en l'occurrence à Victoriaville, en certaines périodes de l'année. Aussi, on comprend mieux pourquoi, en 1966, ladite municipalité s'en porte acquéreur : désormais elle pourra en contrôler le débit. La chose lui sera nécessaire jusqu'au début des années 1970 alors qu'elle entrevoit la construction du réservoir Beaudet.

Dès lors, ce sont les agriculteurs des environs qui se plaignent du barrage prétextant que ce dernier provoque l'inondation de leur terre, aussi en souhaitent-ils la démolition. Ces derniers interviendront donc auprès des autorités victoriavilloises dès 1972. À ce moment, la Ville n'y voit aucune objection. On pourrait penser que l'affaire est réglée. Ce ne sera pas le cas. Un autre groupe s'oppose farouchement au projet, les propriétaires des chalets riverains :

Je suis absolument contre la démolition du barrage Girouard. La valeur de mon chalet va tomber de moitié et c'est une des quelques places dont nous pouvons respirer l'air qui n'est pas pollué et c'est un avantage de nos jours '.

En 1973, l'auteur de la lettre, Fernand Alarie, ira plus loin et recueillera une pétition à l'intention du ministre de l'Environnement de l'époque, Victor Goldbloom. Ladite pétition porte 15 noms, pour la plupart des propriétaires de chalet. À celle-ci, ceux qui préconisent la démolition du barrage opposeront leur propre pétition qui, incidemment, comportera à peu de chose près le même nombre de signatures z.

Toutes sortes de contraintes légales ont empêché la Ville de procéder à ce moment. Finalement, pour se débarrasser du problème et comme le barrage ne lui était plus d'aucune utilité, elle le mit en vente. La municipalité de paroisse, flairant le problème, refusa de s'en porter acquéreur. À la fin, c'est M. Ronald Lapierre qui, en juillet 1978, en fit l'achat. Ce dernier avait l'intention de redonner vie à l'ancien moulin. Pendant ce temps, le conflit continue de s'envenimer entre les partisans de la démolition du barrage et les opposants qui désirent même en faire un site historique.

En 1982, M. Lapierre, qui ne donna pas suite à son projet de reconstitution du moulin, cède ses droits à la municipalité de paroisse pour la somme de 3 140 $. Aussitôt, M. Roméo Moreau dépose au conseil municipal une requête demandant que l'on procède à la démolition. Les élus se montrent favorables. Mais avant que l'on puisse procéder, il faudra attendre quatre ans, soit le temps nécessaire pour traverser le dédale judiciaire, les recommandations du ministère de l'Environnement et les contestations des opposants. Le barrage Girouard s'écroulera finalement sous le pic des démolisseurs le 10 juin 1986.
Livre du 150e, p.193 et p.194 Livre 150 iem
Barrage Girouard,CL-MUN-001.JPG Classeur - MUN
Barrage Girouard, et Romeo Moreau, LB12-P27.JPG LB G.-P N.
Barrage Girouard, LB11-P36.JPG LB G.-P N.
Barrage Girouard, LB11-P77.JPG LB G.-P N.
Barrage Girouard, LB12-P25.JPG LB G.-P N.
Barrage Girouard, LB12-P27.JPG LB G.-P N.
Barrage Girouard, LB12-P84.JPG LB G.-P N.
Barrage Girouard, LB12-P85.JPG LB G.-P N.

Tourisme Centre-Québec

A déjà abrité un restaurant.

Tourisme Centre-du-Québec, édifice 08-04-03, 52-02.jpg
Tourisme Centre-du-Québec, édifice 08-04-03, 52-03.jpg
Expo 1998 - Film 52
Situé dans l'ancien Provigo.

Tourisme Centre-du-Québec, DON-JP-199.JPG
Disque patrimoine

Divers ponts

Mosaique pont.jpg
Photo supplémentaire
Disque patrimoine


mosaique bibliotheque.JPG
Photo supplémentaire
Disque patrimoine
Salle Pierre-Prince

Presbytère

Service d'eau

Station d'épuration

Centrale Téléphone

Cimetière

Église

mosaique_eglise.jpg
Photo supplémentaire
Disque patrimoine

Couvent

Couvent de Princeville, 6-02.jpg Expo 1998 - Film 6
Mosaique Couvent.jpg
Photo supplémentaire
Disque Patrimoine

Écoles

École primaire, rue St-Jacques, 4-14.jpg Expo 1998 - Film 4
mosaique ecoles
Photo supplémentaire
Disque patrimoine


Mise à jour le 28 janv. 2022